Ces étudiants des travaux publics, du génie électrique et de la mécanique énergétique, ont bloqués, dans leur mouvement de grève, les portes d’accès à l’ensemble des étudiants des autres spécialités, en les incitants et en les menaçant à suivre leur mouvement de grève… Cette interruption qui devait se limiter à un nombre de jours restreint, se retrouve dépassant la semaine. Comme chaque grève, elle possède son lot de conséquences, en se prolongeant.
De la sorte, elle prive d’autres étudiants, non concernés, dans l’immédiat par l’ensemble des points soulevés dans la plateforme de revendication. Cette dernière soulève des inquiétudes sur le déroulement de l’année universitaire, qui est à craindre et les retards induisant systématiquement une perturbation des formations, des quelques centaines d’étudiants de cette faculté. Se qui est le plus déconcertant dans tout cela, c’est de voire, une administration ne cherchant pas à prendre immédiatement les mesures, pour pallier à ce fléau de blocage
En nous rapprochant de ce mouvement, nous devenions la bouée de secours, qui ferait parvenir « à qui de droit », leurs sollicitudes. Nous remarquions, que la plupart des étudiants étaient mécontents de la réaction de leur tutelle par rapport à leurs doléances et donc demeuraient déterminés à poursuivre leur mouvement de colère.
Il y a lieu de signaler que la masse estudiantine, formée autour de ces revendications semble être, plus importante par rapport à celle de l’an passé, qui ne dépassait pas une dizaine d’étudiants. Aussi, il faudrait savoir décrypter le message de ces grévistes, venus en grande partis d’autres contrées du pays, ou selon eux, ils n’ont été que trompés par le système d’orientation, car ils pouvaient étudier, le même enseignement dans leur propre Wilayas
Nous comprendrons alors, à travers notre humble, décryptage que cet étudiant venu de loin non
Pour cela, il faut des gens expérimentés, existant sur place, dans l’administration des facultés, pour pouvoir décrypter les messages des uns et des autres et ne pas traîner pour solutionner, les problèmes que vit l’étudiant. Parce que le ministère étant loin…. il ne comprendra jamais ce qui se passe à 500 Km de lui…Le ministère, devrait réorganiser, se qui, comme méthodes, n’a pas réussi dans d’autre pays tel que (le Canada), ne pourra jamais réussir chez nous et nos jeunes étudiants en souffriraient, il ne peuvent demeurer des cobayes !.
K .Benkhelouf