Un poteau électrique hors d’usage au milieu de la route .

Un poteau électrique est planté au beau milieu de la chaussée à la cité Larbi Ben Mhidi ex (Gambetta) depuis plus d’une décennie Le poteau est érigé au centre d’une intersection, plus précisément en face du C.R.T.E. (centre du réseau de transport d’électricité). Selon les témoignages des habitants du quartier, le poteau en question gêne aussi bien les piétons que les automobilistes.
qui sont estomaqués par son emplacement et doivent impérativement être prudents, le contourner pour emprunter la route principale Il représente un véritable danger au risque mortel Ce dit poteau se trouve dépourvu de câbles il est hors d’usage seul le pylône trône le milieu de la chaussée. Il représente une fatalité aux automobilistes étrangers.
Il est ahurissant pour que les responsables de la voirie des différents secteurs ne connaissent l’état du lieu ils ferment les yeux de facto , cette image est délirante elle prouve l’absence totale des responsables de l’urbanisme communal, des services techniques chargés du suivi des opérations d’aménagements urbains  portant le revêtement bitumeux de cette cité , ceci n’étonne plus les habitants du quartier, tant l’insolite rythme leur quotidien le pire est qu’il est placé à une intersection d’une rue principale cette anomalie illustre parfaitement le désintéressement porté par la légèreté avec laquelle les quartiers sont   administrées aux élus ajoutant  les défaillances de l’éclairage publique qui  s’opère à tour de rôle dans les  quartiers populaires ( à qui le tour de plonger dans l’obscurité.) et à la dégradation des rues et ruelles (nids de poules et  autres )   les  dégradations  de l’intérieur de l’ immeuble connu  comme milieu de délinquance situé au centre ville offrant une image désolante  où l’ordure jonche certaines  rues du centre ville  la liste est longue pour citer ce délaissement  qui ne cesse d’entraver  la bonne marche des décideurs du devenir de cette ville hélas  nous sommes loin de connaitre  les nouveaux locataires de l’hôtel de ville.

O.A.