Teghalimet:Un débrayage à l’école « Adda Abdelkader « , pour causes de « classes insalubres »!
De source sure, nous obtenions l’informait qu’un certain nombre de personnel enseignant de l’école Adda Abdelkader avait fait un petit débrayage de 08h à 10h en revendication des conditions d’insalubrités dont était sujet cet établissement. A cet effet les écoliers furent laissés sans études dans le stade de l’école, en attendant que les chargés de l’entretien viennent, tel que nous le confirmait un des élèves.
En effet, cette situation livrant les classes de l’école dans des conditions d’hygiène qui indisposent et les enseignants et les élèves est dus à l’absence très fréquente, que le personnel chargé de l’entretien, dans le cadre du filet social, occasionnent. Ce personnel, exprime une indifférence totale, vis-à-vis de l’administration qui leur attribue cette allocation, con sidérant que les agents de l’ANEM, qui perçoivent plus qu’eux, ne travaillent nullement et ne sont point contrôlés.
Le directeur de cet établissement, n’a pas cessé de porter connaissance de qui de droit cet état de chose, qui traine depuis fort longtemps et pour lequel son administration de tutelle, n’a pas encore songé à procéder à un recrutement d’une agent permanente, pour solutionner, les causes, qui perturbent à la longue, l’ensemble du contenant de cette école de plus de 350 élève et 13+1 en corps enseignants.
Dans ce cas là, et comme toujours le Directeur qui se débat tout seul, avec les moyens en sa possession, s’est empressé de porter, cet état de chose et de ses conséquences au Secrétaire Général de l’APC, que nous trouvions sur place, lors de notre visite, pour s’assurer de par lui-même de la bonne exécution du nettoyage des classes s’effectue, alors que les enfants avaient perdus , une journée de classe. Nous avons alors compris que les difficultés se retrouvait dans les attributions d’allocation à des citoyens, qui s’étaient engagés pour donner en contrepartie quelques efforts, mais qui se dérobaient, en raison du manque de suivit de l’administration de l’APC.
Nous signalerons que la bonne volonté et le sérieux du directeur de l’école Adda Abdelkader est incontestable, mais qu’il est amputé de moyens humain, qui permettraient de soulager les conditions de travail, des enseignants qui se trouvent à transmettre des messages d’hygiène, dans des conditions douteuses.
K.Benkhelouf