Comme l’année passée, c’est la même eau usée du voisin du rez-de-chaussée qui se déverse – depuis l’intérieur de son logement fermé (un vide sanitaire transformé) – à l’entrée de l’immeuble formant une mare d’eau d’égout stagnante, nauséabonde, contenant des larves ; rendant pratiquement difficile les sorties et les entrées sans piétiner cette impureté.
Les habitants ont attiré l’attention du voisin, mais il refuse, en s’entêtant, de faire les réparations « si tous ne participent pas financièrement ». Parce qu’il ne l’habite pas, il leur a imposé ce genre de chantage alors que cela relève exclusivement de sa responsabilité, car il y a eu modifié de la conception, dont les tuyaux d’évacuation, pour en faire une habitation.
C’était un vide sanitaire transformé illégalement, d’autant que la partie de « son logement » touchée est celle issue d’une «extension» illégale sur un bien collectif (accaparement de la partie concave de l’immeuble), comme la plupart des habitants.
La même situation, avec le même voisin, s’est déroutée l’année passée. L’intervention indolente, timide et bureaucratique de l’APC a fait que ce voisin a procédé à du bricolage sans réelles réparations ; plus aussi par revanche à la plainte des habitants disent ces derniers. Cela restera ainsi tant qu’il persiste à ne rien faire de sérieux et de définitif et tant que les autorités concernées restent complaisantes, voire insouciantes!
Il y a de fortes probabilités d’apparition de maladies à transmission hydrique d’autant que nous sommes en été.
Sortant d’un logement non habité, il est impossible aux habitants de faire quoi que ce soit pour arrêter cette eau nauséabonde sauf se plaindre. À qui donc quand les services concernés ne répondent pas. Que faut-il faire alors ? Faire le pied de grue devant l’APC et la Wilaya ? S’en plaindre au ministre ou au Chef du gouvernement pour une simple réclamation… d’hygiène ou de salubrité publique ?
Il y a vraiment danger et urgence, car il est question de santé publique.
A.D