Alors que nous étions appelés à couvrir les évènements qu’a connu la nouvelle cité des 160 logements située à Gambetta aux abords immédiats de la route qui mène à Ain Trid, où les bénéficiaires se sont impatientés durant de long mois et le temps d’un coup de tête ont décidé d’occuper leurs biens, en squattant par effraction un grand nombre d’appartements, mais après de sérieuses négociations avec les premiers responsables de ce dossier, les habitants de la cité Adim fatiha ont finalement décidé de quitter les lieux sans vacarme ni vociférations en attendant la distribution officielle qui doit se faire incessamment.
Or en voulant quitter le site, nous avons été interpelés par l’un des deux gardiens affectés pour la surveillance des lieux de jour comme de nuit, pour de nous part d’un laisser aller manifeste, d’une inconscience professionnelle condamnable et d’un contrôle et suivi du donneur d’ordre qui sont incontestablement inexistants.
Voilà un autre exemple d’un laisser-aller manifeste de certains responsables de nos administrations, qui par manque de sens de responsabilité et de sérieux causent des dégâts considérables au cadre de vie des citoyens et sapent l’effort de l’état pour moderniser le pays, ceci dit, le gaspillage de temps et d’argent ne sont plus à prouver, il reste à déterminer la responsabilité de chacun dans se massacre de l’environnement et répondre à la cuisante question : à l’OPGI de Sidi-Bel-Abbés qui contrôle quoi ?
Fouad. H