Qui a intérêt à museler la société civile (comités de quartier) à Sidi-Bel-Abbès ?
La liste des associations de comités de quartiers recensée par la direction de la réglementation et de l’administration locale est bien longue, parmi elles certaines associations de comités de quartiers sont anciennes ou de création spontanées elles servent parfois comme instrument manipulé par des partis politiques déviant la loi 0012-06 du 18 Safari 1433 correspondant au 12 janvier 2012 relative aux droits et obligations des associations au chapitre 2 Article 13. Jusque là la remarque d’une confrontation faite ou plutôt laisse apparaitre le dysfonctionnement entre élus et comités d’associations de quartier .Cette dernière traine devant les directions d’exécutifs, organismes publiques précisément face aux administrations pour décrier le cadre de vie lamentable des habitants de leurs cité. cette manipulation a longuement durée laissant les cités exposées aux désastres et d’une complicité volontairement entreprise par les diverses parties qui s’appuient sur leurs intérêts personnels menant la ville à la dérive.
Qui doit écouter la société civile et la crédibiliser ?
L’implication de la société civile dérange certaines structures locales par sa forte contribution, elle agit dans un cadre d’intérêt d’ordre général dans la mesure qui améliore cet état de dégradation autour des thèmes de l’hygiène, de l’environnement, quant aux catastrophes des aménagements urbains connus par leur fourbi décriés par la population belabésienne sans que personne n’a osé stopper ce dommage effaçant l’ image que méritait notre majestueuse ville , la plupart des quartiers même celui du centre ville se baignent actuellement dans l’anarchie de gestion perfide témoignant d’une situation dévastatrice devant cet état de fait précis selon certaines déclarations de comités de quartier qui n’ont pas réussi à améliorer leur cité se posant la question « la discrimination dans les structures demeure toujours problématique » et ont été catégoriquement écartés de la scène du programme du projet de développement qui n’a cessé de trébucher au rythme décadent du au boycottage de certaines parties qui ne cessent de s’y opposer à l’encontre de la société civile provoquant son écart et ne devrait en aucun cas être consultée sur toutes prises de décisions.
Tout peut se réaliser sans la participation la société civile, mais rien ne réussira sans sa présence.
O. Abbas