certains disent écrire en posant aux lecteurs leurs conditions, et machiavéliquement, ils entrent dans des personnages ou la paranoïa, sifflote dans les coulisses, du mal. J’admets, que lorsqu’on est l’origine du succès de certain, que ces comportements, très souvent difficiles, ne sont que des maladies de la frustration et des grandeurs incommodantes, quand ceux qui les pratiquent chantonnent, pour chatouiller la voix des autres, ceux, qui ne veulent pas, les provocations des fruits de la passion..
Un jour en voulant prendre la défense des incompris, des maltraités, des frustrés, des occasionnels, j’ai reconnu l’amère de l’acide. Quand ceux qui firent de la prison, ceux que l’on traitait d’étrangers, ceux qui furent longtemps hospitalisés ou internés et ceux qui confondaient toutes les professions, j’en faisais mon cheval de Troie et supportais le produit de leur mesquinerie J’ai soutenu, les uns et les autres, oubliant que me taire me ferait traire aux yeux de ceux qui ne cessaient jamais de bruirent.
J’ai aimé la cuisine de la marguerite, celle de la sauge, des épinards et de la Guarnina, et j’ai laissé le sel à qui en désirait. Je pensais que la viande de cheval, était mangeable, lorsqu’on se trouvait en convalescence ; mais quel imbécile, je devenais en soutenant la cause, des mulets désossés, sans viande, qui ne savaient qu’hennir pour ressembler à des purs sangs. J’ai lu « Guerre et Paix, le rouge et le noir », avec des passionnés d’écriture et de lecture, qui mieux que moi savent donner le ton aux proses, et j’apprenais que Tolstoï, allait me faire entrer dans une œuvre abondante, je devais ralentir la course de mon temps, pour ne pas me prendre, pour la star des parchemins, moi qui n’avais encore rien vu, comme vrais parchemins..
Et c’est ce qui s’est passé, je demeurais se que j’ai toujours été, dans la simplicité de se que j’étais, persuadé que je ne pouvais rentrer dans un univers qui appartenais à d’autres. La conjoncture lorsqu’on a, la vie quotidienne et des humeurs à gérer, est taciturne. Alors ma passion de lire et même celle d’écrire, dans des conditions ou l’on saute des pages, devrait interpeler ceux qui causent du tort. J’aurais bien voulu dire « Non, je vais lire et écrire tous les mots à la vitesse, qu’il faut, et je respecterais celui qui m’aurait apporté l’ouvrage, et j’éviterais de le bousculer, machiavéliquement, alors qu’il ne m’a rien fait de mal. » Parce que les livres, ont une vitesse qui leur est propre, une odeur qui leur est propre, un froissement qui leur est propre.
On ne lit pas « L’étranger » ou bien « Jacques le fataliste » de Diderot comme on lit Proust. Alors lisons à l’allure de nos mots, ceux que l’on comprend et que les mots qui créent des maux, ne sortent pas !.
Oui lire et écrire est une recherche, ou si l’on est pas prêt pour leur vitesse, l’on peinerait et l’on ne pourrait, aller plus loin que le bout de nos ongles. Et lorsque ces montagnes inaccessibles surgissent dans le noir, que ces zones difficiles transgressent vos parfums, que ces terrains malaisés vous tourmentent, comme toute ces géographies dont Ulysse, vous en conterait un bout.. Je vous confierais, sans complexe, que je ne suis pas parvenu, j’ai trébuché à la 20e page de lecture et à la 2ieme d’écriture. Les espaces de glissades, que vous m’avez réservé, vous, resteront fidèles, pour que vous glissiez dessus, mais j’en tiendrais compte. Qui se rappelle de Dumas, lorsqu’on y rentre, l’on ne veut plus que cela finisse.
K .Benkhelouf