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Que se passe t il, dans les palais du savoir de Djilali Liabès ?

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Selon  le  journal officiel N°04 du 08 Rabbie El Aouel 1434 ( 20-01-2013) P7, deux vices- recteurs et 04 doyens  de faculté de l’université Djilali Liabes, ont été démis définitivement de leur fonction, par décret présidentiel du 11 safar 1434, correspondant au 25 décembre 2012, pour être appelés à exercer d’autres responsabilités, ainsi :

 

Mr Kada Mouéddène, vice recteur chargé de la formation supérieur de graduation, la formation continue et les diplômes -Mr Mohamed Karim Fellah, vice recteur chargé de la formation supérieur de  post-graduation, l’habilitation universitaire et de la recherche scientifique.

-1er)Mr Samir Hadjeri, Doyen de la faculté des sciences de l’ingénieur- 2ie)Mr Faouzi Fettat, Doyen de la faculté des sciences économiques et des sciences de gestion-

3ie)Mr Mohamed Boudali, Doyen de la faculté de droit…

4ie)-Egalement par décret présidentiel du 25/12/2012, il a été mis fin à compter du 28 Juin 2012 aux fonctions de doyen de la faculté des sciences à l’université  de Sidi bel abbès, exercée par Mr Driss Amad Tabet, pour suppression de cette structure.

Tous ces responsables, ont  eu la désagréable surprise de se  retrouver, du jour au lendemain, par ce décret présidentiel du 25 Décembre 2012, libérés des fonctions qu’ils détenaient  au  sein du rectorat et dans les facultés citées, presque , sans  motif apparant. …Ces mesures  présidentielle  mettant fin, aux fonctions de ces  gouvernants  de l’université Djilali Liabès , nous interpellent, par une série de questionnement, nécessaire à  en faire comprendre les raisons , de ce massif écartement  des rennes de la gestion, de ces importantes facultés, et de la vice présidence du rectorat.

Nous connaissions, la météo de chacune des  facultés, depuis un certain temps, mais ce type de nuage qui plane au dessus de l’université Djilali Liabès, nous semble  quelque peux  mystérieux  et  rempli de zones sombres. S’agirait-il, d’une action, tentant à renouveler, les énergies des ressources humaines chargées de la gouvernance qui s’essoufflent ? – S’agirait-il du constat retardé que ces hauts cadres de l’université, sont tout simplement  apparus comme incompétent ?- S’agirait il de la  confirmation, que ces responsables suscités sont à l’origine des nombreuses inquiétudes soulevées  par les étudiants ? S’agirait d’un  constat  que leurs incapacités à prendre en charge, la direction des structures qu’ils gèrent  et qui nécessité le changement de ces hommes, pour mieux  traiter les insuffisances cernées dans les horizons de chaque facultés ? S’agirait-il du résultat des commissions ministérielles qui ont été dépéchées pour s’enquérir de la réalité sur le terrain ?

Espérons que les propositions de remplacement, soient mûrement réfléchis, et que des qualités existent réellement, inconsidérée peut être, mais elles existent et peuvent répondre aux missions pour lesquelles, l’on pourrait les  désigner. Ces compétences sont fortes des erreurs  et faiblesses des autres . Espérant que ceux qui ont pour tache de  désigner des candidats, le fasse en leur âmes et conscience, loin du « Piston »

Nous espérons  donner dans nos prochaines éditions, de plus amples éclaircissement à ce sujet

K.Benkhelouf

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