Quand cesseront les scandales de ces directions dites DUC et DLEP ?
Un projet de 70 logements de fonction destinés au corps des enseignants universitaires datant de l’année 2007, ne sont pas de haute qualité ni efficaces pour satisfaire le bénéficiaire malgré cela, il a été récemment réceptionné et officiellement inauguré par le chef de l’exécutif et les clés distribuées aux heureux bénéficiaires, le 1er mai 2014 à l’occasion de la journée mondiale du travail or, selon certaines indiscrétions, le wali aurait relevé des réserves quant aux logements ainsi rendus, faut-il le rappeler ce projet inscrit dans le cadre des équipements pris en charge par la D.L.E.P. ( direction des équipements et des logements publics ) a nécessité la mobilisation de 5 entreprises privées pour une durée indéterminée afin de réaliser 70 logements de type F4, , un exploit en matière de lenteur et de retard qui ne peut trouver d’explication que dans une mauvaise gestion du secteur.
Au jour d’aujourd’hui, nous avons tenu à visiter le site en question, situé à la cité de Larbi Ben M’hidi (ex Gambetta) à quelques encablures du pole universitaire du Campus, le projet en question est composé de 70 logements de type F4, en R+2 et R+5, les habitations ainsi réceptionnées et attribuées aux 70 enseignants universitaires révèlent déjà de l’incompétence de l’ étude du projet sur sa conception par des insuffisances dans la réalisation qui ont été très mal suivies et relevant des réserves qui ne répondent nullement aux normes du B.T.P, serait-il une incompétence ou plutôt une anarchie dans le sérieux ou l l’absence des règles de consultations pour un appel d’offre réglementaire, dans un cadre purement pluridisciplinaire chargé d’une étude fortement et pleinement étudiée pour ne laisser passer aucune remarque, celles que nous avons relevé ne se trouvent sur aucune règle ni loi du bâtiment, à l’exemple de cette descente d’eau impropre qui traverse les cuisines du coté du plan de travail et les éviers de cuisine.
Ces logements ne sont raccordés ni au gaz naturel, ni à l’électricité ni au réseau de l’eau potable, les espaces communes sont toujours en chantier, des odeurs nauséabondes infestent les lieux avant même que ces logements ne soient occupés, les poteaux de l’éclairage public sont scellés à une distance de 15 cm du sol, laissant apparaître dangereusement les câbles électriques.
Le reste serait découvert lors de l’occupation des lieux, drôle de qualité de travail qui laisse apparaître une médiocrité pareille!!! qui est responsable de cet abus ? Et qui doit faire cesser ces scandales ? Enfin devrions nous s’agenouiller pour demander un cadre de vie agréable que l’Etat nous l’offre en dépensant des budgets sans que personne n’y veille.
Abbas. O