Ceci dit, ce crime commis au sein du commissariat central entre deux membres en tenue bleu de sexe féminin, non seulement il a mis en émoi toute la population mais en plus il a été à l’origine de fortes spéculations sur la place publique concernant le réel mobile ayant poussé cette femme célibataire de 32 ans à vider le chargeur de son arme de poing sur feu B. Sara, célibataire aussi de 25 ans et belle physiquement.
Même si le mobile exact reste du ressort des services concernés, beaucoup pensent que cet assassinat cacherait un secret que seule l’inculpée (et peut-être aussi la victime) est en mesure de le divulguer, néanmoins, il semblerait que la victime se savait menacée de mort et aurait averti ses proches mais, à aucun moment, ces derniers auraient pris cette menace au sérieux, jusqu’au jour fatidique où ils leurs annoncèrent l’assassinat de leur fille à la fleur d’âge.
D’autres par contre, avancent l’hypothèse que suite à une dispute verbale entre la femme officier tueuse et à un autre collègue à elle, la victime aurait témoigné auprès de ses supérieurs, contre son assassin ce qui aurait provoqué son courroux et le temps d’un un moment de folie et de rage aurait commis l’irréparable en assassinant de sang froid et avec préméditation la jeune Sara. B, or ce scénario ne semble pas tenir la route vu sa légèreté.
Fouad. H