Paradoxe alarmant, un regard débordant devant le centre de santé et l’école « Djebbour Benali »à Hai Boumlik
Devant des cas de figure similaire à celui, de ce regard d’égout débordant en face du centre de santé de Hai Boumlik (ex Campos) et de l’école primaire « Djebbour Benali ». l’on ne peut écarter de l’esprit devant ce scandaleux tableau, que les services de l’ONA ou ceux de l’APC semblent, jouer avec le temps et laissent des centaines de regard et d’avaloir obstrués de saleté dans leur état d’obstruction, qui mène aux débordement des eaux usées, au su et au vu de tous le monde.
L e dysfonctionnement de ce réseau d’égout sanitaire qui recueille les eaux usées provenant des maisons avoisinantes par les buz « d’égout sanitaire latéral », peuvent être à l’origine de ce qui fait déborder l’égout collecteur. Et cet état de chose, indispose tout le monde de par les odeurs qui s’y dégagent, les eaux usées qui envahissent la chaussée, par le piétinement de cette eau sale, pour pénétrer chez soi, dans le centre médical ou l’établissement scolaire. Ce débordement dans la plus grande artère n’est inconnu pour personne, et personne ne semble faire l’impossible pour traiter cel.
Même si la commune ou l’ONA, venaient à nettoyer, inspecter et réparer régulièrement les réseaux d’égouts, il va sans dire que des problèmes imprévus peuvent occasionnellement survenir, ce qui cause une augmentation du niveau d’eau dans l’égout, qu’on appelle « surcharge ». Ors dans ce type de cas, il s’agit de nettoyage en profondeur, ou beaucoup d’élément peuvent être à l’origine de cet empêchement de cheminement des eaux de manière normale, pour lesquels il faut un personnel technique spécialisés et si nécessaire l’inscription pour le réaménagement du réseau des eaux usées si nécessaire.
Cependant ce qui est inadmissible est de voir que cet état de chose se trouve à proximité du centre médico-social, et d’une école de ce quartier et que les responsables de ces infrastructures, se sont manifestés plusieurs fois auprès de ceux qui en ont la charge et personnes n’est venu intervenir, pour les soulager de cette calamité, qui traine, depuis très longtemps. Mais comme cet état de chose, devient alarmant, les citoyens et le comité de quartiers devraient, ne pas attendre que « le secours tombe du ciel ». Cette culture de réagir auprès de qui de droit, doit être l’inquiétude de tous les jours et de ceux qui en sont incommodé.
Les citoyens de Hai Boumlik, qui se disent oubliés, pour les décharges de déchets solides qui jonchent, les deux bords du chemin qui mène vers l’oued, qui est lui aussi source d’autres soucis, réclament l’intervention de qui de droit, pour réparer cette situation. En outre ce quartier qui souffre aussi de l’existence d’autres sujets, qui nuisent au cadre de vie de cette population, feront l’objet d’écrits, sur lesquels nous reviendrons.
Par K.Benkhelouf