Cette question de toilette, est devenu un sujet de discussion, qui avec la force des choses a été soulevé par l’élu Mr Fizazi, lors de la dernière rencontre du wali avec l’APC de Sidi bel abbès…Et c’est vrais, combien, qu’elle mérite d’être étudiée et solutionnée par les pouvoirs public cette question. Car, des vacanciers, nous ont exprimé cette inquiétude, que pose l’absence de toilette publique, payante et bien entretenu, dans une grande ville comme la notre. Un lieu qui demeure pour beaucoup de citoyen, parfois malades, un lieu de soulagement urgent et nécessaire.
Cette remarque, nous fus faites alors que nous vadrouillons le Boulevard principale de la capitale de la Mékérra, en compagnie d’une grande figure du sport algérien, Kada Kribich lors de sa dernière visite à Sidi bel abbès. Nous nous confions nostalgiquement, certaines anecdotes du passé, aux termes desquelles, nous évoquions les personnes ayant vécu en tel ou tel endroit. Nous critiquions les enseignes de certains commerces qui se ressemblent tous, comme si ceux qui se charge de cette fonction ne savent pas étudier la diversité commerciales dans un boulevard. Nous déplorions l’absence de certains kiosques n’existant plus, alors qu’ils auraient pu être remplacés en mieux, pour ne pas fausser le décor. Nous nous désolions à la vue de cafés, qui ne sont plus, ou se que l’on a fait d’eux, désole la vue. Enfin et le plus important dans cette histoire, c’est que toutes les toilettes que la ville possédait jadis, qui permettaient au citoyens de se soulager, lorsque leur besoin naturel se faisait exprimer, ont été éliminées !.
Qu’étaient devenues les toilettes, me disait-il ? En quoi gênait elle ces toilettes pour les avoir fait disparaitre ?- Nous ne trouvions pas de réponse, parce qu’il n’y avait mieux que nous à la tète de cette commune, pour que ce sujet n’intéresse personne- Dix APC à peut près, ont défilées, depuis l’indépendance- 08 au moins d’entre elle étaient concernées par ces toilettes que l’on a fait disparaitre, sans chercher à les réparer, à les améliorer, en bon citoyen et responsable de cette ville.- A bien les gérer et surtout à permettre aux citoyens d’en profiter. A croire que Sidi bel abbès a été gérée par des gens qui n’ont pas connu Sidi bel abbès dans le passé et n’ont jamais vu ces toilettes. Bien entendu, cela se comprendrait, si ces élus viennent de petites agglomérations, car dans un petit village les toilettes publique n’existent pas, mais nous sommes dans une grande ville d’Algérie, qui reçoit des milliers de visiteurs par jours et qui mérite plus de considération.
Alors, il est malheureux de l’évoquer, une ville comme Sidi bel abbès, sans toilette publiques est honteux d’en parler- C’est comme, si nous avions un chez soi sans toilettes, pour faire nos ablutions, et que nous nous en remettions à mère nature. Les cafetiers, qui ne songent qu’à faire rentrer de l’argent refusent l’accès, quand le besoins s’en prend à leur client. La clef des toilette est remise par « Piston ».et lorsqu’on est loin de son chez soit, l’on risque de faire ce besoin dans nos « frocque ».(Dans ce cas, je me demande se que font les service de l’hygiène de l’APC ?) Quelqu’un que nous connaissions étant malade, nous confiait le sourire à la lèvre « Dans ce cas l’on est contraint de s’acheter des couches adultes, pour éviter le pire ».Au premier abord nous pensions qu’il rigolait mais, maintenant, c’est presque une certitude, pour éviter le pire seule une couche adulte serait une solution.
Dans une ville, comme celle de Sidi bel abbès, ne pas etre équipé d’une seuletoilette publique dignes de ce nom, équivaut à chercher une aiguille dans une botte de foin. Imaginons alors, que le souhait du tourisme se réalise, dans nos parages, et que les visiteurs, viennent par centaines, et qu’ils ne trouvent pas une seule toilette ?
Et si vous êtes pris d’un besoin urgent et que vous sentez, des odeurs qui piquent aux yeux et asphyxient, alors, vous ne verrez pas des toilettes, mais, mais les traces qui sont laissé par le besoin naturel d’un malade surement. Cela m’incite à rappeler que c’est peut-être de l’incivisme, mais surtout une indélicatesse compréhensible d’un besoin, que des toilettes auraient pus solutionner. Serions nous, contraint même en passant en ces lieux de se munir malgré nous, d’un masque à oxygène afin d’échapper à coup sûr à une mort certaine, par étouffement causés par des relents d’ammoniaque qui nous prennent à la gorge, nous donnant l’envie de vomir! A cause du manque de toilette et à cause du suivit et des recommendations des commission chargées de l’hygiène.
Pour revenir aux recommandations de Mr Fehim Yahia wali de Sidi bel abbès à la proposition de Mr Fizazi élu RND de APC, le premier responsable de la wilaya, n’a trouvé aucun inconvenant à se que cette inquiétude des citoyens voit le jour. Cependant, il voudrait une étude de l’emplacement de ces futures toilettes, sur l’éloignement des lieux réservés aux hommes et aux femmes, par des entrées différentes, leurs gestions, mais surtout leurs parfais entretiens. Il rappela la conception de ces lieux et leurs désignations aux publics, ainsi que les horaires d’ouvertures et de fermetures. Enfin, il avoua « Je suis un citoyen comme tout le monde et ressentir se besoins comme tous les citoyens. A l’heure où l’on parle de promotion du tourisme, il serait urgent de réhabiliter ces espaces indispensables à la capitale de la Mékérra digne de ce nom ».
Messieurs de l’APC ? Mr le wali vous aura dit ne pas etre contre, la réalisation de toilette, alors nous espérons, qu’elles figurerons dans vos programme, car le citoyen en a besoin. !
K.Benkhelouf