MEKERRA une identité Berbère !

L’affiliation de Mekerra l’histoire de berbères et des dynasties musulmanes de l’Afrique septentrionale, s’avère avoir traversée notre région, depuis les temps reculés, les cantonnements des berbères seraient attirés par la présence de l’eau source de vie.

Dans notre contrée un Oued divisait ce territoire d’où son eau claire des sources situées sur tout le long de son lit prenait à partir d’Ain El BGUIRA serpentant tout le plateau jusqu’à Oued SIG .Quelques part une tribu berbère venait de s’installer d’une façon sédentaire sur les bords de la rive ayant trouvé la stabilité et la paix ainsi que la richesse des ses terres fertiles pour les labours et autres cultures à ses irrigations ont pris part par le temps à l’attribution d’ un nom pérenne c’est celui de leur ethnie .

M’KERRA de son appellation d’origine jusqu’à la colonisation française, s’interprète désormais MEKERRA pour des raisons de prononciation.

L’interprétation de la légende des frères Phalènes subdivision d’une tribu berbère, trace d’une émigration considérable témoigne leurs déplacements qui ont affecté cette tribu dans le cours de la domination musulmane sur cette tribu que nous notons comme suite.

Un mouvement provoqué soit par un soulèvement dont il vient d’être question (741-742),soit par la pression du flot arabe versé en Afrique vers le milieu du XI è siècle.

Dés le XVI è siècle, une tribu des Oulhaça existait déjà dans le massif de montagnes qui borde le littoral à l’extrémité occidentale de la province d’Oran. Ils étaient en guerre avec la ville d’One (Honein) cette tribu c’est divisée en deux fractions à savoir la première est Tidr’as, et la deuxième Dah’ia .

1– TIDR’AS était établie dans les monts des Aurès

2– DAH’IA – Cette subdivision se composait elle aussi de cinq fractions quatre ont disparu a savoir : 1- Ourtdin 2- Nrir 3- Ouritounet 4- Ik’ouin la dernière , nommée MKERRA se trouve à peu de distance des Oulhaça de la Tafna de la province d’Oran ,où elle donne son nom au cours supérieur du SIG , et la plaine qu’il arrose .

O.Abbas

Source : MAC-GUCKIN de SLANE.