Les signataires de la pétition se demandent pourquoi ce projet entamé en 2004 n’enregistre au jour d’aujourd’hui qu’un taux d’avancement de 60% pourtant
L’état, à travers ses différents représentants, semble ne pas prendre au sérieux ces cas d’entrepreneurs sans scrupules, leur dictat est manifeste même si ironiquement entre l’entrepreneur et le souscripteur c’est tout un contrat en bonne et due forme qui est engagé vu les lois de la République…serions-nous devant des promoteurs devenus si puissants qu’ils piétinent au grand jour les lois sans que personne n’ose bouger le petit doigt ?
Fouad. H
Lettre envoyée au journal Les Echos De Sidi BEL Abbes Le 31 Mai 2013 à 17H30
Objet:plainte
Message:projet 169 logements L.S.P a sidi bel abbes( EGC BOUABDELLAH MOULAY ALI) marche a pat de tortue
Dans une pétition les souscripteurs du projet 169 logements socio participatifs, situé au quartier le Rocher, dans la daïra de Sidi-Bel-Abbès interpellent le chef de l’exécutif de wilaya, pour intervenir afin de régler le problème, qui les opposent avec le promoteur du projet. A travers le contenu de la lettre, dont une copie a été remise à Réflexion, les souscripteurs indiquent que le projet lancé en 2004 n’enregistre, qu’un faible taux d’avancement des travaux, soit 60%. Les signataires de la pétition soutiennent avoir satisfait, la totalité des tranches financières. Ajoutant, qu’ils viennent d’être sommés par cet entrepreneur de verser, encore une fois une somme supplémentaire et ils l’ont fait sans tarder. Une somme de 30 millions de centimes, pour les appartements F. 2 et 90 millions pour les appartements F.3. D’après ces derniers, les dossiers ont été déposés en 2002 et en 2012 mais aucune suite ne leur a été réservée. Face à cet imbroglio, il sollicite une oreille attentive du wali pour attirer son attention, sur le flagrant retard et obliger l’opérateur à achever le projet, le plus tôt possible. « Nous avons hâte, d’occuper nos nouveaux appartements, que nous avons payés de la sueur de notre front pour quitter les logements précaires et exigus ».Concluent ces familles.
Debab.B