La vérité sur le communisme est ce qui fait le plus peur aux Juifs. Ils ont compris cette faiblesse de leur plan. Aussi, dans tous les pays fermés par le rideau de fer, se sont-ils empressés, depuis 1918, d’infliger la peine de mort pour ce qu’ils appellent le « crime d’antisémitisme », c’est-à-dire la mention du mot, Juif concernant la conspiration communiste.
C’est le « crime » pour lequel il n’y a pas de pardon, ni d’atténuation de sentence.
Dans l’autre moitié du monde, dans les soi-disantes démocraties, s’il n’y a pas encore de peine de mort pour ce crime de dire la vérité, le terrorisme dont on le punit n’en est pas moins inflexible.
Celui qui dit la vérité, qui prononce le mot interdit, qui a l’audace d’épeler les quatre lettres prohibées: J U I F, on le frappe d’ostracisme, on le broie financièrement, on l’écrase économiquement, on le couvre de boue, on en fait un objet d’opprobre et de mépris, et, si les circonstances s’y prêtent, on le plonge dans la captivité sans procès ni sentence, parce que le crime de dire la vérité n’est pas encore incorporé dans nos lois. Et veuillez croire que je ne fais pas d’allusion particulière à mon cas personnel ou celui de mes amis, car ce fut le cas de dizaines de mille patriotes de tous pays, pour des raisons et dans des circonstances identiques.
II ne faut pas que l’humanité sache ce qui se passe, il ne faut pas que les peuples réalisent qu’ils sont dans la fournaise d’une révolution en pleine effervescence, il ne faut pas que les confisqués, les liquidés de demain sachent ce qui les attend, car, dès le moment ou le complot serait clairement connu, dans sa pleine réalité, le complot serait automatiquement éventé.
Et, pour empêcher la vérité d’éclater au grand jour, cette vérité qui libère et qui sauve dans n’importe quel domaine où on l’applique, les Juifs usent de toutes les pressions qu’ils peuvent exercer, par la finance, par l’économique, par la politique, par la presse, par la radio, par le cinéma; et quand il est un domaine qu’ils ne contrôlent pas directement, ils l’amollissent, le chloroforment par leurs sophismes libéraux, leur engluement dans le tolérantisme.
C’est ainsi qu’ils ont procédé, avec un immense succès dans tous les pays qui ont sombré dans le communisme. Tous ces pays martyrs, toutes ces populations torturées ne doivent leur triste sort qu’à une chose: la trahison des anciens chefs nationaux qui avaient la garde du troupeau et qui ont pactisé avec les loups par omission quand ce n’était pas par commission.
Nous aurons le même sort chez nous, dans notre Europe déjà considérablement sapée, minée, par la même conspiration, si les chefs responsables tiennent la même conduite, s’ils sont aussi lâches, s’ils cèdent au même terrorisme, s’ils trahissent pareillement la vérité en refusant de la servir, dans la crainte de faire le seul genre de lutte qui peut nous sauver de l’abîme.
Quand le monde est en feu, quand les valeurs les plus précieuses de l’humanité sont dans l’enjeu, quand la venue même du Christ en ce monde est menacée de devenir inutile dans ses effets pratiques pour des générations à venir, quand tout le bien accumulé par le travail et l’initiative depuis que le monde est monde, quand tout ce que nous reconnaissons comme culture et civilisation est menacé d’anéantissement, le temps n’est plus d’ânonner des mots creux, de fendre les cheveux en quatre, de recourir aux demi-mesures et aux demi-vérités.
Il faut être entier dans la vérité, entiers dans le courage, entiers dans la détermination, entiers dans la lutte.
C’est le prix, c’est la condition du salut. Il faut faire fi du respect humain, de la crainte de perdre des sous ou de recevoir des coups.
Ne nous préoccupant jamais de l’opinion ou du jugement des hommes, craignant seulement le jugement de notre Créateur et Maître, nous ferons inflexiblement notre devoir, sachant qu’un jour nous comparaîtrons devant le vrai Juge.
Si nous n’en avons pas d‘autre, nous aurons au moins le mérite, dans la plus terrible tempête qui se soit abattue sur les hommes, d’avoir consenti à tout souffrir dans nos âmes, dans nos cœurs et dans nos corps, plutôt que de céder aux offres, à la crainte, aux rigueurs, aux pertes et aux coups; et cela non seulement pour rester fidèles à nos convictions mais aussi pour rester « les gardiens de nos frères ».
Frédéric BERGER