Il n’est un secret pour personne que les habitants de la cité des 380 logements communément connue sous le nom de « SORECOR », endurent le martyr depuis plusieurs années, d’ailleurs le journal « échos de Sidi-Bel-Abbès » a été sollicité à trois reprises, en l’espace d’une année pour exposer aux responsables locaux, les multiples désagréments auxquels ces malchanceux sont confrontés quotidiennement à leurs risques et périls.
Aujourd’hui, ces mêmes habitants sont plus que jamais déterminés à porter les conditions de leur mal-vie en haut lieu, à des autorités qui peuvent réellement venir en aide, d’une manière efficace et déterminée pour assainir et tarir ces mauvaises conditions qui nuisent à leur cadre de vie et mettent en danger de mort 380 familles, (à l’exemple de ces câbles électriques qui traversent des caves inondées d’eau).
Dans cette lettre ouverte adressée au premier ministre et signé par le président du comité de quartier, H. Ben Attou en occurrence, les plaignants ont énuméré la quasi-totalité des graves insuffisances qui perdurent depuis jadis dans cette cité populaire, avant de solliciter l’intervention du premier ministre du moment que les portes des responsables locaux restent fermées et l’attention de ceux qui sont censés répondre positivement à leurs multiples cris de détresse, demeure réfractaire. (ci-joint la lettre).
Pour mieux comprendre le bien-fondé de cette lettre ouverte, veuillez consulter l’article que nous avons publié récemment en activant le présent lien: Clickez ici
O. Abbas