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Les éleveurs dénoncent le non respect, de  la politique du cotât des aliments des animaux de ferme et la menace de leur métier

Ainsi devant les éleveurs mécontents, devant cet organisme de Sidi Brahim, qui leur attribue, l’alimentation, pour leur différent élevage et animaux de ferme, il dénonce une fois encore le quota, qui leur est difficilement attribué avec une quantité  insuffisante, loin de satisfaire leur attente, loin de leur permettre de promouvoir leur activité et de ce sentir  accompagné, dans leur métier d’agriculteur-éleveur.

Les éleveurs, se sont rapprochés du directeur de l’agriculture, à ce sujet de cotat  d’alimentation, qui fait apparaitre selon eux, certain qui obtiennent, toutes  quantités qu’ils désirent et les autres, même pas le cotât arrêté qui leur revient.  Le D.S.A , n’a pas donné de suite.

Chaque saison, pourtant, l’on verra le stockage d’une large gamme de produits agricoles en plus des importations, mais cela ne semble pas maîtriser sérieusement, le mécanisme créant, les inquiétudes très, souvent intentionnellement causées.

Aussi bien les éleveurs d’ovin ou de  bovin, de caprin ou de volailles,  sont perturbé et retrouvent, ces derniers temps de nombreuses difficultés qui freinent l’évolution de leur activité, en raison de la quantité insuffisante de l’alimentation complémentaire qu’on leur donne en dessous de leur cotât habituel, qui très souvent les contraint à se diriger malgré eux vers la cherté de l’aliment du bétail, dans le  privé.

Les éleveurs font  part de leurs difficultés de maintenir cette activité pourtant fortement implantée dans toute la wilaya. Certains ne pouvant plus faire face à ces contraintes n’ont pas hésité à jeter l’éponge et changer d’activité, en dénonçant la spéculation faite autour des aliments. Ils ajouteront que , rien n’est fait, pour aider les éleveurs, et laissent les spéculateurs  agir, à leur convenance. Ce litige n’a pas raison d’exister, par contre,  il se répète chaque année, sans que des solutions soit données.

L’ensemble des agriculteurs présents,  abondent dans la même évocation des contraintes qui paralyse la bonne intention de leur activité. Ils ne cachent pas, qu’un véritable réseau  mafieux semble gére les aliments, dont le son  qui est extrait du blé subventionné et l’orge dénoncent-ils en interpellant l’Etat pour récupérer le son du blé subventionné et l’attribuer directement aux éleveurs à une quantité et prix raisonnable. Tout en dénonçant le trafic du son qui fait le bonheur des spéculateurs, pour se retrouver en dehors  du circuit légal entre  2500 et 3500 DA semble(t-il

Toutefois, les éleveurs dont les producteurs de lait qui sont confrontés en permanence aux difficultés d’approvisionnement des aliments pour leurs bêtes et volailles, voient  leur devenir, menacé, c’est alors qu’ils dénoncent en colère la spéculation, entretenue à cause du silence des autorités compétentes.

Par K.Benkhelouf

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