Et puis, l’on espérait aussi que les associations de quartiers, qui se disent exister dans le panorama organisationnel de la ville, réagiraient au moins, dans le secteur géographique qui les concerne. Cependant en constatant la réalité négative de cette société civile inexistante sur le terrain, l’on se demande, si réellement elles existent, pour représenter des citoyens ? Il y a vraiment lieu d’en douter ! (Du moins, celles qui ont du répondant, sont limités dans leurs nombres)
Le constat est amer, très amer même, beaucoup de ces associations, exercent illégalement, leur mandat étant arrivé à échéance depuis fort longtemps, l’administration chargée de leur renouvellement, tolère cette situation, pour des raisons dont nous doutons les motifs, mais que la vie des citoyens de tous les jours ne comprend pas.
Le constat est amer, le paysage est effroyable, et des amoncellements d’ordures à la rentrée de la ville de Sidi bel abbés, à proximité de la maison Citroën à quelques mètres d’un barrage fixe de la police, d’autres tas d’ordures, dans la future piétonnière jadis royaume de l’informel, sont également accumulés, proche des services de sécurité n’inquiétant nullement ces services, dont la mission serait de rappeler que « la rue du citoyen » n’est pas une décharge publique. Aucune artère ne veut être épargnée par ce fléau de l’hygiène. Aucune cité ne peut démentir que l’occupation des ordures ménagères, s’engage à dramatiser la situation.
Il semblerait que l’APC a donné aux associations, tous le matériel nécessaire pour nettoyer tel que pelle, râteau, brouette, sac etc- Il semblerait également que chaque quartier devait etre doté de 2 à 3 agent qui répondraient aux besoin de l’hygiène- Il semblerait qu’ils seraient contrôlé- Il semblerait…
Il est inacceptable aussi, de continuer à percevoir que des agents de la sureté accomplissent leur taches en pénalisant tout quelconque « fauteur » de la circulation à quelques mètre, d’une accumulation de saleté jetée volontairement par les commerçants d’à coté, sans que ces derniers responsables de ces dégâts, ne soient inquiétés. Oui, en effet il s’agit d’une autre police qui se chargerait de cela, mais, il s’agit comme l’un et l’autre d’une « faute sanctionnable ».
Disons cela, pour ne pas dire que pour chaque faute il faut une police. Mais, si cela était le cas,
En attendant des jours meilleurs,les ordures s’ amoncelles aux coins des rues, dans les espaces vides des quartiers, partout, partout, les amoncellements d’ordures nous aveugles et nous asphyxient
K.Benkhelouf