Les 3 ex maires ont ouvert les portes du manège à Bouchahrine !
Les documents inédits du scandale du manège.Comme promis, nous vous publions les documents officiels qui sont au nombre de 11, lesquels nous confirment que les trois maires (de 2002 à 2017) ainsi que l’élu président de la commission communale de l’urbanisme et son acolyte, le délégué financier, sont les auteurs du grand scandale du bradage du manège, qui restera inscrit dans les annales de l’histoire noire des maires de la ville de Sidi Bel Abbes.
Pour mieux éclairer certaines lanternes, nous avons pris l’initiative de remettre sur table des documents inédits, qui tracent les contours d’un stratagème ourdi occasionné par les représentants élus du peuple.
Ces documents sont classés en trois chapitres.
1- certificat d’urbanisme de la DUC, sous le No : 394 du 18 mars 2007, portant notion « toute construction n’ayant aucune relation avec ce parc est strictement interdite ». (Lire document ci-joint).
2- le maire, en date du 24 mars 2007, a notifié, dans une première réponse officielle à Mr Bouchair Djamel, toutes les recommandations de la DUC.
Malheureusement, 24 jours après, soit le 17 avril 2007, le feuilleton manège commence, par la réapparition du même document, sous le même enregistrement, signé par le même maire en exercice, autorisant Bouchair Djamel à construire des infrastructures pour hébergement (ce qui a été interdit par la DUC). (Lire document ci-joint).
3- ce qui est surprenant, c’est que le président de la commission communale de l’urbanisme, a délivré un premier permis de construire sous le No 145/2009, en date du 25/03/2009, autorisant Bouchair Djamel à bâtir un hôtel de 5 étages avec 2 sous sols et à la même date, un deuxième permis de construire, sous le No d’enregistrement 146/2009, portant réalisation d’un Motel, puis un troisième permis de construire sous le No 356/2010 en date du 05/10/2010, portant annulation du permis de construire No 145/2010 et en même temps son renouvellement et encore un quatrième permis de construire sous le No 355/2010 en date du 27/10/2010, qui annule aussi le permis de construire No 146/2009 ( concernant le Motel), et lui renouvelant, dans le même document, le permis de construire pour la réalisation d’un Motel.
En conclusion:
Il y a eu délivrance de 2 certificats d’urbanisation dont le second n’est pas conforme au premier
En second lieu, il y a eu délivrance de 4 permis de construire qui laissent sous-entendre la transformation du parc d’attraction en un complexe touristique.
O.Rayan