L’Entreprise hydraulique CHIALI épinglée par les habitants des quartiers Ben Hamouda

Dans le cadre du programme spécial de la réhabilitation des réseaux d’alimentation en eau potable à travers les différents quartiers de la ville de Sidi Bel Abbés, l’entreprise CHIALI a qui lui a été confiée l’exécution de ces travaux semblerait être à l’origine d’un grogne des habitants de la cité du lotissement S.2 à Ben-Hamouda provoqué par des désagréments essentiellement sur la lenteur dans les avancements des travaux et l’abandon des tranchées dans une situation inachevée.

Ayant été informé de cet état de fait , notre déplacement sur les lieux nous a permis de côtoyer les habitants lésés dans leur quotidien afin de prendre connaissance de la consistance des critiques et réserves formulées à l’encontre de cette entreprise.

Selon les déclarations enregistrées (voir vidéo ci jointe) Le risque d’accident est le premier souci serait l’abandon des travaux laissant les tranchées éventrées non remblayées privent l’accès des personnes dans leurs habitations ce qui provoque un agacement suite à l’affaissement du remblai étalé d’une manière non conforme au règles techniques compactage qui empêche aussi le passage des véhicules aux garages.

Une situation selon les témoignages qualifient d’aberrantes vu l’absence des services techniques (maitre de l’ouvrage)sur le terrain censés de contrôler et suivre ces travaux selon les règles techniques prévues sur le cahier de charges Il est aussi important de rappeler que depuis un mois les habitants des quartiers limitrophes (S.3 et le S.5 ) sont toujours dans l’attente du lancement de cette opération qui demeure avoir pris un long retard soit une attente indéterminée selon le programme l’opération devrait être entamée le 15 du mois de janvier 2013 qui à ce jour aucune suite ne leur a été réservée.

Plusieurs questions ont été posées à maintes interventions auprès des services chargés du suivi de l’opération ( le maitre de l’ouvrage A.D.E.) concernant la lenteur et certaines opérations non entamées jusqu’à ce jour dans les quartiers programmés qui demeurent sans suite .

O. Abbas