L’école primaire de la commune  d’Amalza, non prête pour la rentrée.

 Comme, il nous a été permis de le signaler dans d’autre éditions, que compte tenu de l’état dans lequel, se trouve certain établissements et compte tenue de l’avancement des travaux lorsqu’il y en a, beaucoup d’entre elle, ne seront pas prête pour recevoir, leur écoliers, qui à chaque  rentrée, rêvent  trouver de meilleurs  conditions d’études scolaire, mais l’exemple cru de l’école d’Amalza (daira de Mérine),  que nous évoquons, prouve le contraire.

Alors que la rentrée scolaire, s’annonce dans très peux de jours cette école, se trouve  toujours en  chantier de réhabilitation  et à un rythme d’escargot, annonçant  que les dits travaux  ne seront  certainement pas terminés  à la rentrée officielle de septembre. S’ajoute à cela un type de travaux  organisés de manières désordonnées. L’on rechange  inutilement des tuiles de Marseille en bon état, avec des tuiles chinoises au lieu de changer seulement celles qui en endommagées et permettent des infiltrations d’eau. Des classes dans un état piteux, des plafonds effondrés, de murs  fissurés non encore concernés par les travaux. Des travaux de peinture de qualité médiocre à la va vite et sans  parfaite finition, pour cacher la réalité des murs. Un travail bâclé et de la précipitation voulu pour recevoir les enfants dans  des conditions catastrophique, étant donné que beaucoup reste à faire, certain que la réception sera faite, avec ceux qui en ont un intérêt.

La cours  qui elle aussi a besoin d’être revêtue est sale, et jonchée de brique, de ferraille,  de gravas, de tuiles, de banc dégradé, de pot géant, , de chaises et tables usagés et dégradés. Les classes non réaménagées sont  remplies avec un matériel scolaire  dont des  armoires dégradées et des manuels scolaires éparpillés, des tables  et des chaises usagés et endommagés des armoires endommagé et jeté comme rébus dans les classes.  Le comble a été de voire des symboles de l’état tel que les drapeaux petit format jeté à tort et à travers dans la cour, comme s’ils n’avaient aucune valeur.

De l’avis des citoyens, qui  tenaient à dire leur mot en cette occasion, pour contrecarrer l’autoritarisme de l’adjoint P.APC , qui refusait de donner des explications sur le laissé allé dans cette école à l’approche de la rentré et sur l’irrespect du drapeau national, jeté  dans la cour, ils diront que

« Les travaux engagés, sont très mal entrepris, ne répondant pas aux normes  sollicités. Un rafistolage de l’extérieur des murs, pour  cacher un intérieur dégradé, de par les fissurations, les effondrements de plafond dans certaines classes, la cour qui est endommagé etc ».ils ajoutent qu’ils auraient souhaité, que l’on construise d’autres classes, au dessus de celle existantes, pour éviter le surnombre, au lieu d’avoir  placé des  tuiles usagées chinoises et ayant enlevé  les tuiles de Marseille en bon état. de ce rafistolage de qualité médiocre et coûteux » ils disent être en  besoin de transport scolaire, pour les enfants des  niveaux du moyen et secondaire, qui très souvent en arrivant en retard, se font renvoyés ». Tous travaux doivent être  entrepris à temps, avec un cahier de charge, des dates et des normes de réalisation et du contrôle des réalisations, en chargeant sur le terrain ceux qui sont les plus rapprochés et disponible tel que la subdivision de la DUC.

K.Benkhelouf