L’école Dahmani Mohamed de Ras El mai, fait asseoir les élèves 04 par pupitre.
S’agissant du devenir de nos élèves, « les femmes et hommes de demain », nous ne cesserons, de porter à la connaissance de qui de droit, les mauvaises conditions, dans lesquelles, certain établissements font dispenser un enseignement, à leurs élèves. Alors que pendant, cette rentrée scolaire, les yeux étaient dirigés vers des aménagements, non réalisées ou pas encore terminés, nous nous apprêtions à nous intéresser à leur restauration, qui devaient être bien assurées à compter du premier jour de la rentrée, mais voila, notre impossibilité de sortir de l’auberge, en constatant qu il existe des élèves, qui étudient dans de mauvaises conditions. C’est le cas de l’école « Dahmani Mohamed » de Ras El Ma qui selon notre source et les photos et les photos parvenus, elle continu en 2019, de faire asseoir 04 enfants dans un même pupitre. C’est de l’impensable ! Mais c’est une réalité. Il va sans dire que le but en installant 02 enfants par pupitre, est de leur permettre, une position confortable, pour mieux se mouvoir et écrire aisément, mais à les installer à 04, démontre tout simplement, l’insuffisance en immobilier scolaire, dans cette école, alors que dans beaucoup d’école, il existe très souvent un surplus de pupitre et de chaise non utilisable.
Pourquoi alors, que les services concernés, ne s’attachent ils pas, à récupérer les pupitres en surplus qui se trouvent ici et là et le dispatcher là ou se trouve un manque ? Pourquoi que les directeurs chargés de ces écoles ne font ils pas les commendes nécessaire en temps voulu ? Comment expliquer ces situations de laisser aller dans nos écoles, que l’on ne cesse de dénoncer pour diverses raisons, mais qui demeurent, « lettre morte ? »
La construction de relations de confiance entre les parents et l’école, ne peut que se détériorer, en raison des difficultés que vivent, les élèves en observant, des conditions imparfaites, alors que les solutions doivent être une priorité de l’institution. A cet effet , que les responsables de l’académie et directeurs d’écoles sachent, que, demain, ce seront, ceux qui auront souffert à l’école, en n’ayant pu étudier comme il le fallait, qui feront la description sévère de leur école et de leur condition d’élève. Car quand la scolarité s’effectue avec difficulté, très souvent l’école, produit des échecs et les répercussions sont plus importantes qu’on ne le croit dans la vie des individus, les hommes de demain.
Par K.Benkhelouf