Le lac Sidi Mohamed Benali meurtri une fois de plus par un entrepreneur indélicat! !
Le contenu du programme de l’étude et réalisation d’un parc citadin au lac Sidi Mohamed Benali, porte un article très important concernant la plantation paysagère & amélioration de la biodiversité. Il est très important d’apprendre qu’en 2013 une opération similaire a été engagée pour la plantation de brise-vent longeant de l’intérieur du mur de clôture qui manifestement s’avère clôturée par un taux de réussite extrêmement faible.
Au mois de mars de cette année 2016 une semblable opération a été réitérée sur le programme de l’étude et réalisation d’un parc citadin au lac Sidi Mohamed Benali cette fois ci l’intitulé de l’article mentionne « plantation de brise vent sur la partie extérieure de la clôture du site.»
.Malheureusement, le dit projet a été confié à une entreprise retenue ou peut être a été imposée vient de choquer les riverains de la Mekerra suite au massacre environnemental cause sur la partie terrestre qui affiche un haut niveau de préoccupation et dans le même temps s’avère scandaleux prouvant la récidivité qui formule une deuxième infraction portant atteinte à l’environnement du site après la première condamnation.
Il s’agit des travaux de reboisement engagés ne répondant aucunement ni aux normes règlementées, ni au compétences ils se qualifient d’acte volontaire de sabotage, l’opération de plantation a été outragée au départ , l’absence totale au respect du cahier de charge a installé le doute des réserves qui sont flagrants, de visu de cette fourbe opération de mise en terre des petits plants de pépinières(cyprès), une désobéissance technique caractérisée d’alignement, défaut d’enlèvement de matières encombrantes pour un nivellement du sol, l’absence totale du piquetage les normes de plantations font des particularités qui ne présentent aucune efficacité sur la réussite puisque l’on constate de visu le non respect de la profondeur (trou) de l’enterrement du plants ,sur une terre non végétale ni sur un sol naturel , l’espèce n’est pas du choix de la taille exigée, les petits plants de pépinières cyprès n’est pas à croissance rapide ils commencent à mourir, l’abus de leur plantation sur les talus au milieu des encombrements marque un bafouage des travaux, puisque jusqu’à présent il y a absence totale de suivi.
Lorsqu’on conçoit un brise-vent, il faut considérer l’offre des vertus environnementales qui demeurent d’actualité, elles contribuent à diminuer à l’impact sur le changement climatiques et sert d’habitat ou de couloir de migration à la faune. Lorsqu’on sélectionne les essences à utiliser pour les brise-vent ou les rideaux-abris, il faut rechercher les caractéristiques répondant aux conditions qui offrent une vertu environnementale malheureusement l’anarchie continue à condamner le lac à sa survie.
O.A