Malgré des études très approximatives et incohérentes avec l’espace et sa vocation qui n’est pas encore déterminée, des réalisations dont le taux d’échec
Il faut se rendre à l’évidence car Sidi Mohamed Benali n’est ni un réservoir naturel, ni une zone humide, ni un lac mais tout simplement un réservoir de décantation qu’il faut préserver par une réhabilitation hydrique et écologique. Depuis des années le réservoir d’eau n’est plus alimenté par les deux canaux
Le site est soumis au vandalisme d’une forte fréquentation à travers les pressions suivantes tant sur le plan d’eau que sur la végétation :
- Rejets de déchets issus de pique-nique et de feux de bois pour préparer le repas des personnes visitant le site
- Stationnement des centaines de véhicules aux abords du plan d’eau et dans la végétation
- Prolifération de vendeurs d’aliments et de boissons sans autorisation
- Terrain de conduite pour des jeunes se préparant à l’examen du permis de conduire
- Lavage et nettoyage de véhicules
- Mauvais aménagement initial
- La pollution des eaux du lac est due essentiellement au comportement humain (déchets, lavage de voiture etc…
- Perturbation des habitats de la faune et de la flore
- Insalubrité anthropique du site
- Forte attractivité et absence de surveillance et entretien
- Assurer une alimentation en eau du site
- Réhabilitation de la clôture existante autour du site;
- Interdire l’accès aux véhicules à l’intérieur du site
- Réalisation de toilettes publiques avec fosses septiques
- Aménagement de deux parkings;
- Réalisation d’un poste de contrôle des entrées
- Aménagement d’aires de pique-nique hors des sites
- Implantation d’un mobilier spécifique aux espaces aménagés
- Signalisation pour protection du site