Le secteur financier Algérien est performant et solvable, l’inflation en accélération accrue depuis une année, reste l’un des défis majeurs auquel doit faire face l’Algerie.
Pour 2013, le FMI prévoit un taux d’inflation autour de 5% entre autre, grâce à la politique monétaire prudente de la banque d’Algérie.
La consolidation budgétaire prévue dans la loi de finance 2013, constitue un élément important pour réduire le risque de déficit public.
Pour le FMI les secteurs de pétrochimie, de sidérurgie, du tourisme, d’industrie pharmaceutique, ou encore des nouvelles technologies de l’information, constituent autant de niches économiques à développer afin de garantir une croissance hors hydrocarbures.
Le marché domestique constitue quant à lui un véritable bouclier contre la crise financière internationale.
Fouad. H