Le Directeur de la Sureté de Wilaya, donne son Bilan 2012
K.Benkhlouf
Le Directeur de la sureté de Wilaya a réuni, en ce jour du 24 Décembre 2012, l’ensemble de la presse écrite et électronique locale, pour présenter son traditionnel bilan des activités de l’année 2012. A travers son intervention d’ouverture de la séance, Mr le Directeur de la Sureté, exprima en prime abord, ses sincères hommages envers les membres de la presse de la Wilaya, qu’il reconnait être, de qualité très louables, en raison des contributions effectives à transmettre l’information et à couvrir appréciablement, l’ensemble des évènements à travers toute la Wilaya.
Il reconnait avoir fait le constat depuis son arrivé à Sidi bel abbès, que la presse qu’il a pu côtoyer, contribuait pleinement par ses efforts à l’épanouissement du cadre de vie et si de temps à autre, certaines situations regrettables, venaient à tenter de noircir le tableau, cela, ne prouverait nullement l’existence de discordes. Et en raison de cette parfaite symbiose existante, il assure, agir à se que les membres de la presse demeurent, des partenaires de qualité, dont le respect de la responsabilité serait préservé.
Il confirmait intervenir auprès du personnel de la sureté de la wilaya, dont il est responsable,, pour que le type d’incident tel que celui, ayant occasionné des traumatismes à notre confrère Mustapha du quotidien El Chourok,, ne se reproduisent plus.
Par la suite, il faisait lecture, du bilan de la sureté de Wilaya, en nous rappelant qu’en 2011, il fut comptabilisé 3744 affaires, qui en 2012 se retrouvaient réduite à 3553 soit un pourcentage dépassant les 80% de situations réglées. Nous noterons qu’une grande partie de ces affaires sont en rapport avec la consommation abusive d’alcool et de prise de comprimé psychotropes. Il justifiera ce sujet, en précisant que Sidi bel abbès était une ville à casernement et école de formation militaire et paramilitaire, dont les locataires de ces sites occasionnent, certain dépassement lors de leurs permissions.
Mr le Directeur de la sureté ajoutera que la quasi-totalité des délits relèvent d’associations de malfaiteurs. Les services spécialisés de la sureté sont parvenu à ce sujet de démanteler 33 groupes au cours de l’année 2012, dont des malfaiteurs visant le vol de câble de cuivre à travers les quartiers de la ville (10 vols d’enregistrés), et ceux qui sont spécialisés en vols de voitures s’accaparèrent de 17 véhicules dont 11 d’entre elles furent récupérés.
Le Directeur de la sureté, nous rappellera également, les efforts fournis par ses services afin de procéder à l’illimitation presque totale du marché informel, et de la démolition des constructions des bas quartiers, qui perturbaient pleinement le cadre de vie des citoyens. Aussi la stabilité des humeurs des concernés, nécessitait un professionnalisme exceptionnel, qui démontrait combien, que tout est mis en œuvre, avec des brigades très expérimentées pour que le citoyen retrouve sa sérénité.
Pour se qui est des conditions sociales du policier, il répondait que ce dernier bénéficiait de tous les avantages et que la Wilaya de Sidi bel abbès était la mieux lotis dans la région Ouest. Dans le cour de 2013, un chantier pour une polyclinique en faveur des policiers et de leur famille serait entamé. Il ajoutera que les citoyens, pourraient bénéficier des avantages des prestations.
Pour conclure, le Directeur de la Sureté de Wilaya, remerciait vivement la société civile, pour leur contribution permanente. Il avançait en outre que le plan de circulation de l’an 2013 devrait être à revisiter en raison des perturbations qui seraient causées, par les travaux du chantier du « Tram ».-Il rappela aussi, que 15 sites allaient être démolis et ses services se chargeraient aussi de la sécurité de la bonne réalisation de ces opérations de démolition –Il lançait un appel aux dirigeant des supporteurs de l’USMBA pour mieux, sensibiliser leurs troupes de supporteurs-Il exprime le vœu de diminuer les PV en 2013 et enfin , il exprimait son impossibilité de mettre devant chaque école un agent, en raison du manque d’effectifs, que certaines administrations retiennent au lieux d’utiliser leur propre service de gardiennage.