Le barbare s’acharne sur les arbres de la ville de Sidi Bel Abbes !

Il y a anguille sous roche !

Dans l’intention de mutiler une ligne d’ arbres d’ornement d’espèce mélia qui sont aux nombre de quatre et de deux palmiers situés sur le triangle de la double voie nord longeant le lycée Azza connue sous le nom de la patte d’oie (petit vichy) loin de la ligne du tramway, l’indélicatesse de l’élu, responsable communal de l’environnement cache quelque chose puisque l’affaire de l’abatage des arbres rebondit à chaque fois que cela l’oblige, considérée comme une affaire perfidie qui se prépare et qui n’est pas claire , en voici une autre opération d’élagage qui fût entamée tôt dans la matinée du samedi 18 juin 2016 par une entreprise insuffisamment qualifiée, chargée de l’exécution sur ordre du président de la commission communale de l’environnement de Sidi Bel Abbes sans se référer au cahier de charge ou encore plus consulter l’étude d’impact sur l’environnement qui cette dernière ne porte aucune mention concernant les six arbres mélia et les deux palmiers préparés en premier à l’élagage en cette saison de repos végétatif ne le nécessitent aucunement selon les règles techniques de la ou encore plus des lois environnementales

Faudrait –il rappeler une fois de plus les massacre provoqué par le représentant de l’environnement des 43 palmiers , les caroubiers, qui jusqu’à ce jour le taux de réussite de la transplantation ne dépassant les deux pour cent 2% aujourd’hui devant un acte barbare où l’on se demande qui en profite de cette affaire qui n’est pas claire ?

Pourtant ,Conformément aux textes relatifs aux attributions de la commune articles 107 et 108 du code communal prévoit la prise en charge des espaces verts, la lutte contre la pollution et la protection de l’environnement.

Combien il avait fallu de soins attentifs pour faire pousser ces arbres, plusieurs générations les avaient protégées, et dans un instant, le travail de tant d’années fut anéanti, pour quel profit, A qui servira cette destruction stupide, Elle n’a été dictée que par la passion de nuire, elle est la marque évidente de la barbarie.

La mutilation des arbres dans le tissu urbain est devenue monnaie courante chez le président de la commission communale de l’environnement plusieurs infractions débitées sont enregistrées à commencer par le dossier de l’abattage des arbres caractérisé sur la ligne du tramway ( affaire du massacre des 43 palmiers , les caroubiers), l’acharnement sur le projet de la Macta (palmiers) suivi par le complot contre Nadif-Com dont l’autorité de wilaya à remis les clés de la prise en charge de la gestion du jardin public qui l’a rendu furieux révolté pour des raisons bien connues !

Les déclarations du conservateur des forets décline toute responsabilité en ce qui concerne cette fâcheuse opération, précisant qu’aucune autorisation n’a été délivrée en ce sens et qu’il tient compte de la demande de non opposition D.N.O. sous le n°19 datant 24 aout 20414 remis au bureau d’étude Egis Rail, portant mention des sections S.E.10 à 20 sur les deux I.S. 4 et 5. Allant jusqu’au rond point du « Garden » soit la rue de Tlemcen.

Aujourd’hui on assiste avec tristesse à la destruction du patrimoine écologique de la ville, abattre un arbre noble n’est plus un délit mais plutôt un crime, un crime aux yeux de notre religion, du cadre de vie du citoyen, de l’environnement et de l’avenir des futures générations, le premier magistrat de la ville à qui revient le droit au nom de ses élus d’opposer son véto pour un tel massacre et de traduire les instigateurs de ce crime devant la justice, semble dépassé et absent de la scène de sa ville…quant aux autres institutions pouvant palier aux insuffisances d’une municipalité en totale déconfiture, elles se jettent la balle, en tentant, tantôt à minimiser les faits dévastateurs d’un tel acte sur l’écosystème en général, tantôt à émettre des signes d’impuissance assortis de larmes de crocodiles.