L’Agonie du lac Sidi Mohamed Benali un patrimoine Aquatique naturel sur la chemin de l’eutrophisation.
Y a-t-il une vérité cachée quelque part ?
Le lac Sidi Mohamed Benali est dans une situation critique depuis plus d’une décennie, aucune étude n’a révélé le niveau de pollution dont il souffre, son eau présente à chaque saison un phénomène naturel qui de visu laisse planer le doute qui a conduit ce phénomène à sa troisième phase de pollution que nous pointons du doigt .
Il n’est toutefois pas facile de faire la distinction les constatations et les informations qui suivent devraient nous aider à mieux interpréter à faire la différenciation de ce phénomène lequel amende et fait souffrir le lac. qui est à sa phase d’eutrophisation.
Nous ne sommes ni experts, ni spécialistes dans le domaine pour dégager une hypothèse ,la démocratie participative nous pousse à interpeller les autorités compétentes d’agir tôt que tard afin de préserver où plutôt sauver ce site aquatique qui a fait couler trop d’encres à travers les différents médias qui a été à l’origine de plusieurs tentatives déconcertés et d’inexpériences ont fait d’un patrimoine naturel un désordre environnemental portant atteinte à la biodiversité cette zone qui n’a cessée de recevoir des coups incontinents traîne le lac à ses dernières heures.
Mis dans un abandon total le réservoir de décantation de Sidi Mohamed Benali n’a plus de sources, il n’est plus alimenté sa barre de graduation explique son dessèchement du fait qu’il soit l’intermédiaire entre Oued Mekerra et le barrage « Sarno. »
Cette interruption a fait apparaître des eaux du lac une couleur brunâtre qui varie selon la vitesse du vent qui traîne à la surface une métamorphose par le manque d’oxygène un phénomène qui est attribuable aux matières organiques qui se mélange à l’air sous l’action du vent et des vagues.
maintenant ces eaux dégagent en quantité une mousse sur les bords une quantité suffisante pour qu’elle soit visible elle est due aux matières organiques en décomposition telles que feuillets(Sbattes) qui ceinturent le lac , les algues asphyxiées , insectes morts, …etc. , ces plantes aquatiques rejettent de très petites quantités de carbones.
Il est utile de revoir la situation de prés de ce site aquatique avant l’entame de toutes opérations de corrections portées afin de sauver ce qui reste.et mettre un terme à ce désastre. quant à ceux qui sont à l’origine du malheur de la ville de Sidi Bel Abbés ils n’auront jamais la conscience tranquille car ils sont connus et indexés nous les tenons responsables.
les dernières volontés d’un lac en agonie. ?
O.A.