La sureté de Sidi-Bel-Abbès, a organisé au musé du Moudjahid, une conférence sur l’histoire de la guerre de libération.
Abbes.O
A l’occasion de la célébration de la fête du premier Novembre qui coïncide cette année avec le 60ème anniversaire du déclenchement de la guerre de libération, la sureté de wilaya de Sidi-Bel-Abbès a organisé durant l’après-midi du jeudi 30 Octobre, une conférence au musée du Moudjahid, sur l’histoire de cette glorieuse guerre de libération, qui a mis un terme à 132 ans de colonialisme esclavagiste, réducteur, raciste, barbare et criminel.
Cette conférence qui fut assurée par deux illustres professeurs d’université spécialistes en la matière, en occurrence, le professeur Chekroune et le professeur Miloua, a permis d’éclairer l’assistance sur l’une des plus importante révolution du siècle ayant mis en échec toutes les stratégies de l’une des plus grande puissance coloniale et la quatrième puissance militaire de l’époque, cette révolution qui a duré 7 ans et demi, grâce à la détermination de tout un peuple et d’Hommes convaincus de la justesse de leur combat, a fini par changer le cours de l’histoire, non seulement en donnant accès à une existence meilleure au peuple colonisé par son accès à une indépendance arrachée par les armes après un lourd tribu, mais également à permis aux autres nations martyrisées, de prendre le chemin du combat contre le colonialisme pour recouvrer leur liberté.
Aux termes de cette conférence et avant, c’était l’occasion donnée au chef de sureté de wilaya de Sidi-Bel-Abbès pour entamer officiellement cette rencontre en donnant un bref aperçu sur le thème choisi avant de procéder à la remise de cadeaux aux bénéfice de policiers en retraite ayant participé à cette glorieuse guerre de libération, et anciens moudjahidines, aux fils des chouhadas et aux familles des policiers victimes de la tragédie nationale.
A noter enfin que nombreux étaient les invités à cette conférence, civiles et militaires avec la participation d’invités d’honneur et de la société civile et de la presse.