Lors de la dernière cession ordinaire qui c’est déroulée au siège de l’A.P.W. de Sidi Bel Abbés.
La nouvelle vient de tomber affaire du manège refait surface !
Au grand bonheur des enfants de la ville qui ont plaidé la cause de ce patrimoine communal bradé par les anciens locataires de l’A.P.C. agissant en connivence avec des hauts responsables de la wilaya de l’époque 2006 procédant à la transaction de ce parc d’attraction par des procédures illégales sans tenir compte du respect des sentiments et à l’amour des citoyens qui les a poussé à cette indignation faisant couler trop d’encre sur ce délicat sujet .
C’est ainsi lors de la dernière cession ordinaire de L’A.P.W. le wali devant l’assemblée a profité de cette l’occasion de faire lecture du rapport adressé par le ministre de l’intérieur en ce qui concerne le parc d’attraction (le manège.) il a été décidé ce qui suit :
Concernant le parc d’attraction de la commune de Sidi Bel Abbes : Il s’agit d’une violation flagrante des lois et règlements régissant du foncier
Dans un souci de préservation de porteur de foncier de la collectivité locale devant acquiers à l’avenir des équipements publics et suite à une lecture approfondie de la convention conclue entre la commune et le bénéficiaire il est proposé ce qui suit :
Application de l’article 1- de l’avenant relatif à la convention entre les deux parties qui précise en cas de non achèvement des travaux de projets touristiques dans les délais impartis , la convention sera annulée de fait des deux parties désignerons un expert foncier pour l’évaluation des travaux réalisés pour l’indemnisation du concessionnaire avec un abattement de 10% au profit de la commune et des dommages pour la commune.
Telle est la situation la plus indiquée dans le cadre de la préservation du patrimoine communal et de l’assiette foncière que les responsables communaux entretenus tiennent ardemment à préserver des constructions ainsi récupérées serviront à abriter le futur projet lié à la jeunesse compte tenu du vaste ensemble immobilier situé à proximité où à servir comme siège au service public d’intérêt général.
Si cette dernière solution n’agrée pas le concessionnaire, il serait nécessaire de recourir à la justice.
Pour ainsi dire que c’est un dossier clos il est maintenant à la charge de l’A.P.C. d’exécuter les instructions.
O.Abbas