Le journal des échos de Sidi-Bel-Abbès a eu le plaisir d’annoncer en primauté l’imminence de la mise en service du registre national, permettant ainsi aux citoyens Algériens de retirer leurs documents d’état civil de la municipalité la plus proche aux quatre coins du territoire national sans pour autant qu’ils soient restreints à faire le déplacement sur leur commune d’origine, aujourd’hui chose faite, le citoyen se retrouve libéré d’un souci bureaucratique qui n’a aucune raison d’être à l’ère où les grandes avancées technologiques ont permis des miracles de par le monde.
Dès lors, notre journal avait émis le vœu (prémonitoire) de voir ce grand pas réalisé par le ministère de l’intérieur, ne pas s’arrêter en si bon chemin et que cette réalisation soit suivie par une autre (plus importante) qui consistera à œuvrer dans le sens d’une modernisation réelle de l’administration Algérienne en commençant par faciliter encore plus la tache des citoyens en leur permettant d’établir leurs documents d’état civil par le biais de l’internet, chose qui se fait le plus normalement du monde sous d’autres cieux.
Aujourd’hui, le journal des échos a eu cette primauté, d’une source nationale généralement bien informée, que le ministère de l’intérieur et des collectivités locales, est à pied d’œuvre pour permettre aux citoyens d’établir leurs documents d’état civil par le moyen de l’internet, un acte qui serait effectif au second semestre de l’année en cours, dès l’achèvement de l’opération de l’élection présidentielle prévue pour le 17 avril 2014.
Fouad. H