C’est alors que nous ne pouvons, que tirer la sonnette d’alarme, vis-à-vis de ces cas de figures, qui méritent d’être pris en charge par une quelconque structure de l’enseignement secondaire ou universitaire, afin de répondre provisoirement aux sollicitations de ces étudiants, et à la grande préoccupation, du directeur de cette annexe des beaux arts, qui ne trouve pas de solution immédiate.
Le responsable de l’annexe des beaux arts a frappé à toutes portes, pour les héberger et en vain, exprime sa crainte de voir, ces futurs artistes abandonner, en cour d’année, leur projet d’avenir.
Cela nous ramène à évoquer, ces festival, qui se clôturent et clôturent avec eux, comme chaque année, une comptabilité gigantesque, comme tous les festivals, qui sont utiles pour les uns, du gaspillage pour d’autres et ne laissent pas d’odeurs, pour beaucoup.
En fermant un registre, on laisse à la traîne certain projet de grande utilité, qui de par le retard de leur réalisations handicapent les activités, en lésant une partie de la population estudiantine venues, des autres contrées de la Wilaya, dans l’impossibilité de bénéficier, de cet enseignement des beaux arts.
Cependant, une réalité s’impose, dans cette école des beaux arts de Sidi Bel Abbès, qui parce qu’elle n’est pas autonome, voit l’ensemble de ses actions et chantier, ne pas se réaliser au même titre qu’une école possédant les moyens et les pouvoirs d’agir.
Une école souffrant, de moyen essentiels, alors que les objectifs attendus, sont d’apporter des résultats en formant des artistes de qualité, grâce à la diversité des prestations qu’un encadrement de qualité assurerait, grâce à l’existence de moyens répondant à la complémentarité des besoins et surtout grâce à l’accomplissement des projets réalisables.
En attendant que ces étudiants, qui ne trouvent pas ou s’abriter dignement, soit pris en charge, dans le cadre de la solidarité inter-établissement scolaire ou universitaire, ou encore dans les auberges de jeunes qu’offrent la Jeunesse et des sports.
Par K.Benkhlouf