Crime crapuleux à la rue de soleil: une femme de 60 ans et sa petite-fille de 12 ans, retrouvées odieusement assassinées.

La ville de Sidi-Bel-Abbès est en émoi suite à l’effroyable nouvelle de la découverte à la rue aspirant Saadane, ex rue de soleil et dans un logement de fonction situé au niveau de l’école Mekkaoui Zoulikha, de deux corps en décomposition très avancée d’une femme âgée de 60 ans répondant aux initiales de B. K et de sa petite fille adoptive, âgée de 12 ans, répondant aux initiales de B. K et scolarisée en deuxième année moyenne au CEM Belkhodja.

Selon des informations en notre possession, c’est grâce à l’inquiétude d’une des amies de la petite B. K, qui d’habitude n’est pas habituée aux absences d’une telle durée vu qu’elle est très studieuse, que le pot-aux-roses fut découvert, en effet, l’amie de la victime a senti des odeurs nauséabondes au seuil de la porte d’entrée, ce qui l’a motiva à avertir un agent de la sûreté nationale qui habite le coin, ce dernier a pris la décision d’appeler en urgence la protection civile, laquelle procéda à l’ouverture de la fenêtre donnant sur la façade pour découvrir deux cadavres en décomposition avancée et gisant dans une mare de sang coagulé.

La police judiciaire fut alors appelée pour accomplir l’opération d’identification des corps ainsi qu’aux procédures réglementaires d’enquête en pareilles circonstances. L’enquête auprès des voisins a vite révélé un suspect, il s’agirait du frère adoptif de la femme B. K, âgé de 32 ans et répondant aux initiales de B. N, appréhendé à la cité de Sidi-Amar, le présumé assassin, un repris de justice notoire aurait avoué son double crime après que les éléments de la police judiciaire ont découvert chez-lui l’arme du crime entaché de sang qui serait identique à celui des victimes.

Le mobile du crime reste à déterminer par les enquêteurs et la justice quoiqu’on avance déjà, un différent d’argent et /ou d’héritage entre la victime et son frère adoptif qui suite à une rixe aurait poignardé mortellement sa sœur adoptive et sa nièce avec une manière barbare et inhumaine et avec l’atrocité la plus indescriptible quelle soit.

Fouad. H