11 novembre 2024

Conférence de presse de la Confédération, Générale des Entreprises. Algérienne. « Nous voulons l’intérêt général, avant l’intérêt personnel »

Une conférence de presse,  organisée par  la Confédération Générale des Entreprises Algériennes ( C.G.E.A.) a eu lieu ce jour 24/12/2012 à 10h dans l’enceinte de l’hôtel  Versailles, et avait pour objet, le constat sur le « développement local du secteur du B.T.P.H 0 Sidi bel abbès »..Placé sous le thème  de la « relance économique et du développement local », la conférence  a été l’occasion, pour la C.G.E.A de s’en prendre  à l’exécutif de la  wilaya, à certain maitres  d’ouvrage et bureaux d’études, occasionnant des  abus, dans la passation des marchés et du processus

L’ensemble des membres du bureau,  qui intervenaient les uns après les autres, semblaient  être  outragés, par l’indifférence  de l’exécutif de la Wilaya qui, dans un silence inexpliqué  trainant  depuis des années ,paralysait  la destiné des entrepreneurs à  contribuer  dans l’émancipation de la  région, qui contrairement aux autres wilayas, se retrouve, au dernier rang. Et pour cette sensible raison, le président de la C.G.E.A .Mr Ghoul, se dresse dans  un cri de colère, envers  ces responsables qui bloquent, les dernières recommandations de Mr le Premier Ministre, semblant ne pas trouver « l’Ouïe », attentive

En effet, Mr Ghoul  qui en sa qualité de représentant du Patronat de la région Ouest  ayant assisté  le 22/11/2012 à une réunion  élargie  qui  eu lieu à « Djane El Mitak », et  regroupait  « le gouvernement, l’UGTA et le Patronat », donnait les  éclairssissements. Cette importante rencontre nationale , présidée par Mr SELLAL, Premier  Ministre, avait  comme ordre du jour  « la relance économique et le développement local ». Mr Le premier ministre, dans son importante intervention, était claire  dans la vision des choses et déterminé à y donner les solutions. Il  tentait de mettre en confiance, le patronat riche d’expérience malencontreuses sur le terrain,  dont il tenait à  en connaitre, les failles, les contraintes et les difficultés  et  créer d’y remédier en assurant  un climat favorable   pour y mettre le « paquet ».. Il cherchait  à se que l’ordre, soit réinstallé et mettre fin à la bureaucratie, qui  bloque le processus de développement- « Dites nous ou cela calle ou caille, et l’on fera le maximum pour faire redémarrer, cette machine économique » leur dira le ministre

Une autre rencontre avec le B.I.T. a eu lieu au cours du début du mois de Décembre 2012, comme  journée de sensibilisation  sur le « parc de croissance », à laquelle assistèrent des experts, qui donnèrent une conférence. « Aussi en tant que patronat, nous devons aider l’équipe gouvernemental  pour réussir dans le programme ajoutera Mr Harmel

A cet effet  Mr Ghoul  s’exclamera pour dire, « qu’en  qualité de Patronat, nous devons contribuer, pour aider l’équipe gouvernemental, qui  ne cherche  qu’a réaliser et concrétiser  des objectifs du programme gouvernemental » « Un nettoyage radical  de  notre administration qui est gangrénée par des pratiques qui nuisent à notre pays. Il faudrait que les responsables utilisent le Slogan « L’intérêt Général avant l’intérêt personnel »ajoutera  le président de la C.G.E.A….

Depuis la rencontre de  Septembre  2011, à celle de décembre 2012, Il existe un écart pour ne pas dire  un ravin entre  les décideurs en haute sphère qui font l’impossible pour que les choses reprennent le cours, mais cependant à la base, les choses sont tout autre et cause  des lenteurs  Cette année  est totalement dépourvue de relance

Le cas de la société DISTRIMITAC, est un exemple flagrant,  et concret. Le 20/06/2012 le projet a été alloué et le 15/10/2012 l’entreprise reçoit une annulation de la Wilaya. Un  dossier illustrant les  nombreux cas de figures   sujets à des dépassements arbitraires, ou l’on « annule sans motif » valable le contrat. A ce sujet un dossier va être déposé, par la C.G.E.A  au chef du gouvernement contre cet abus des  autorités  locales….Les arguments avancés, prêtent à confusion et ne sont nullement convainquant répétera le secrétaire générale de la  C.G.E.A. Cette dernière n’a jamais cessé de dénoncer les attitudes et comportements illégaux employés dans les cahiers de charges, qui demeurent plus de 06 mois pour parvenir à la commission Cette sclérose de l’attribution des marchés publics  et qui relève  très souvent du relationnel, semble ne pas vouloir  les remèdes qui sont proposé par l’instance verticale, du secteur.

Un exemple de dysfonctionnement ou la direction de l’emploi, se retrouve Maitre d’Ouvrage, alors que ses prérogatives sont tout autre, et en raison de l’incompétence existant au sein de cette organisme, qui a vu des litiges, quoique traités  en commission AD HOC, se retrouve à ce jour non  régularisé à ce jour malgré la livraison dans les délais…

Le Conseil Local de l’Ordre des Architectes, d’émettre beaucoup de communication et d’implication. L’ordre, devrait prendre en considération cet important volet et pour cela la C.G.E.A,  Interpelle   pour mettre fin, à ces incompétences, abus ou manque de professionnalisme, de certain  bureau d’études et maitre d’ouvrage  Un seuil de tolérance 5% entre nous et les bureaux d’études, permettrait de solutionner cette question d’avenant …Mr Harmel tenait à demander à se que « Les  entreprises  sont prises en otage, entre le maitre d’ouvrage et les bureaux d’études »

Par rapport aux autres wilayas qui ont bénéficiées  du programme de développement, Sidi bel abbès est entrain de sombrer dans l’indifférence de ses responsables, qui ne permettent pas la réalisation de grand nombre d’objectif  d’avant  septembre  2011, demeurent en suspend…Un taux  des plus faibles, depuis 3 ans, situé entre 15% et 20% de consommation de crédit est avancé et cela se répercute sur l’évolution socio-économique de la Wilaya, contrairement aux années précédentes, De par ce taux très restreint de consommation ,Sidi bel abbès est considérés  comme Wilaya Handicapée….Il nous sera avancé que plus de 4000 entreprises de divers Corps, du bâtiment subissent, les aléas du préjudice financier. Alors que le collectif des entrepreneurs qui possède l’outil et l’ensemble des équipements nécessaire, se trouve paralysé, par des dysfonctionnements qui ne veulent pas changer de mécanisme, et qui qualifie Sidi bel abbès, ex ville pilote en matière BTPH, est devenu au dernier rang. Aussi la population de Sidi bel abbès est devenue lésée.

Il nous sera dit, que cela s’expliquait par la fuite de nombreuses entreprises vers d’autres Wilayas, ou elles sont mieux reçu et ou la qualité de leur ouvrage est  mieux appréciée et tout cela en raison  du « diktat » imposé par les responsables locaux, qui expriment leur refus à se que le développement local de la Wilaya de Sidi bel abbès soit au rendez-vous du programme de Mr le président de la république.

Mr Ghoul ne cachait pas la déception  du patronat envers  les élus,  et  la société civile qui semblent n’avoir jamais dénoncé , ce phénomène  d’indifférence  du  1er responsable de l’exécutif,  envers  les  préoccupations des entreprises du bâtiment, par son manque de soucis vis-à-vis de la relance économique et le développement local .Cependant, tout le temps et la bonne attention ont été donné au programme de la  CAPILEF, parce qu’il s’agissait, de concession de terrain.

La CGEA qui soutient entièrement le programme du  Chef de l’état, qui plaide pour une dynamisation du développement local  que les recommandations phare  du Chef du gouvernement qui circulaires après, circulaires veille à donner des orientations pour la réussite.

Citons en  exemple la DLEP un maitre d’ouvrage  ou  dans le programme de 2010, en  tant que  1er organisme détendeur de grosse part , avait  11 lycée , 09 CEM, 8000 classes pédagogiques et  groupes scolaires .N’a  réceptionné que 02 lycées et 02 CEM.

Un message est adressé  aux élus actuels afin qu’ils  réagissent  plus positivement que les premiers, pour l’intérêt commun de notre Wilaya.

Et que des mesures soient également prises envers, cette bureaucratie galopante, qui touche l’ensemble des secteurs des activités du bâtiment.

K Benkhelouf.

 

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