Ces passerelles, qui n’existent pas là ou elle peuvent servir.
-
Quand elles existent dans certain sites, les piétons, au lieu de les emprunter, préfèrent passer à coté, pour traverser la route en dessous, sans jamais les utiliser. En outre l’exemple de passerelle, que nous citerons est situé dans le rond point menant au fbg Boumlik (ex Campos), qui lorsqu’elle est utilisée en venant du Campos ou en sortant, on se retrouve dans le parking de (camions et d’engins), ou des chiens y trouvent refuges et agressent. En raison de leur situation inadaptée pour les piétons, la passerelle est souvent boycottée par les piétons. L’on surprendra alors, des piétons de tout age, s’attacher à traverser la route, pour s’exposer à un danger réel, plutôt que d’utiliser cette passerelle créée à l’effet de leur éviter d’être fauchés par les véhicules. La cause est souvent citée, la passerelle est difficile à grimper, parce qu’elle est non seulement haute mais longue aussi. Les bons réflexes en termes de sécurité routière sont, ainsi, foulés au pied par de nombreux piétons, qui fond, fi des contestations incessantes des automobilistes, outrés par ces attitudes maladroites. Le danger est ignoré par ces derniers, qui bravent cette menace au quotidien. Et nous entendrons la même réflexion auprès de ces « grappes humaines». « Nous avons l’habitude de traverser la route, sans être inquiétés ! ».
Par contre, il existe le site du commissariat central et de la cour d’appel, ou il faudrait réellement une traversée pour piéton, ou aucune étude n’a été effectuée, pour en réaliser une ,ou l’on surprendra les même paroles « Pourquoi ne pas mettre une passerelle à cet endroit, ou les citoyens sont appelés à fréquenter ces deux importantes institutions de l’état »
La passerelle, ne doit pas être boudée sans raison, ni être, un simple objet de « décoration », faisant partie du paysage urbanistique de la ville, qui enregistre un trafic automobile dense au vu de son statut de principal accès, pour traverser. Les tronçons routiers traversés par des passerelles, sont considérés comme des lieux propices aux accidents, autour desquels, les piétons doivent adopter de bonnes habitudes dans leur comportement, car le pire est à craindre.
Il serait souhaitable que les associations contre les risques de la circulation routière, les services de sécurité et de la Protection civile, organisent, régulièrement, des campagnes de sensibilisation ,en direction des piétons, en leur faisant adopter des comportements adéquats, pour traverser la route par le truchement de la passerelle et prendre si nécessaire des mesures sanctionnant les dépassements des piétons, afin de les amener à respecter les règles de bonne conduite ! ». « Ne faudrait-il pas mettre des agent de la circulation, devant chacune des passerelles quotidiennement?
K.Benkhelouf