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Ce n’est plus la France ; c’est gigantesque lupanar !

Tous nos valeureux soldats tombés au champ d’honneur pour notre dignité et notre liberté, doivent aujourd’hui, du ciel où ils observent, regretter amèrement leurs sacrifices.
Notre chère patrie est livrée à des charognards qui se délectent du cadavre de la République.
C’est la cour des miracles !
C’est à qui ment le plus ; à qui vole le plus ; à qui se prostitue le plus ; à qui trafique le plus ; bref, la France est déchiquetée, déchirée, trahie et reniée par une bande d’escrocs qui ne connaissent ni Dieu ni patrie.
Même nos monarques absolus d’avant la révolution de 1789, n’ont pas tenté de réduire la France à ce point de décrépitude. A la différence de nos gouvernants actuels, ces rois et ces princes avaient au moins Dieu sur leur conscience.
Ces raclures ont tout inventé pour dissimuler leurs méfaits. De la laïcité ennemie du divin à la séparation des pouvoirs qui restent totalement imbriqués ; du secret défense fourre-tout à la propagande médiatique anesthésiante des masses, tout est bien ajusté, bien huilé pour que leur soit assurée une totale impunité !
Ce sont des bandits de grands chemins, mais des bandits qui excellent dans le langage. Qui mieux qu’eux saura vanter à nos esprits léthargiques, les valeurs de la République qu’ils piétinent allègrement ? Qui peut les concurrencer dans leurs rhétoriques inscrites sur du papier musique et qu’ils entonnent de concert pour nous faire admettre leur honnêteté, leur intégrité et leur attachement aux droits de l’homme ? Qui peut se prévaloir d’un patriotisme supérieur ou au moins égal au leur ? Sûrement pas les gueux que sommes devenus grâce à leur démagogie, à leur mauvaise foi  et à leur suffisance.
Ils se transmettent les pouvoirs de père en fils, de père en fille et de copain à copain, comme si une bulle divine est venue à leur rescousse et ordonné la dissolution du peuple.
Cela fait des décennies que nous subissons les mêmes sales gueules et quand bien même une nouvelle venait à apparaître, elle n’est que le fac-similé de leur propre image.
Mais après tout, pourquoi se gêneraient-ils ? Il y a bien longtemps qu’ils ont compris qu’ils pouvaient très bien se passer de nous pour gouverner la France. Ils nous ont littéralement expropriés pour se saisir de notre patrie qui est devenue leur bien propre et de citoyens nous sommes passés au statut de sujets réduits à l’obéissance et à la soumission.
Pour échapper à la justice, ils ont inventé la Cour de la Justice de la République pour être jugés par leurs pairs, c’est à dire leurs alliés et complices. Cette cour a-t-elle, ne serait-ce qu’une fois, jeté un homme politique en prison malgré la gravité des faits reprochés? Jamais ! De l’acquittement et du sursis et pas plus d’un an car leur code pénal n’est pas celui condamne qui le simple sujet à des années de prisons ferme et des amendes ruineuses pour des délits beaucoup moins graves. C’est un code écrit par eux et pour eux.
Ils ont même l’outrecuidance de vouloir imposer leurs lois scélérates jusque dans des états souverains. N’ont-ils pas condamné et exécuté le Président Libyen Mouammar Kadhafi ? N’ont-ils pas condamné et emprisonné le Président Ivoirien Laurent Gbagbo ? Ne veulent-ils pas assassiner le Président Syrien Bachar Al Assad ? Au nom de quoi ? En vertu de quelle loi ? Qui leur a conféré cette autorité ?
Bien sûr, il se trouvera toujours un renégat pour avancer une règle inventée pour la circonstance. Sarkozy a découvert la vertu des droits de l’homme et son chien, le Guéant, la supériorité de « notre civilisation ». La belle affaire ; la bonne affaire plutôt, car ils se sont rempli les poches !
Que pouvons-nous faire pour arrêter cette hémorragie qui nous conduit sous la lame ?
Une révolution ? Sûrement pas, pour la simple raison que même si toute révolution est bonne, elle est souvent conduite par des hommes qui deviennent forcément moins bons par la suite. Il faudra alors une nouvelle révolution pour éliminer les premiers révolutionnaires.
La seule arme dont nous disposons, c’est notre Constitution et Monsieur François Asselineau, Président de l’UPR, qui nous indique la marche à suivre pour recouvrer notre souveraineté et chasser ces chacals du pouvoir, définitivement.
En attendant, il est de notre devoir de cesser de participer à cette comédie qu’ils appellent élections. De nos jours, mettre un bulletin dans une urne pour reconduire les même sales gueules au pouvoir, constitue un geste irresponsable voire une haute trahison.

Par Claude

Envoyé par Monsieur Djerra Amar  Mercredi 01 Mai 2013 pour le journal Les Echos De SBA à 19h57 Min

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