La location du local professionnel est venue à son terme, la bénéficiaire ne pouvant renouveler le bail de location faute de moyens financiers s’est retrouvée dans l’obligation d’évacuer les lieux, d’entreposer son matériel à l’intérieur de son propre domicile familial et mise en chômage forcé avec tout ce qui s’en suit comme désagréments (dette, dépendance et soucis).
Devant une telle situation, l’infortunée s’est adressée à la direction de la C.N.A.C pour lui exposer son problème qui risque de se pérenniser à un an d’exercice, cette dame et après de multiple va-et-vient a reçu les assurances de la part des responsables concernés de la caisse que son nom figure parmi les sept (7) futurs bénéficiaires de locaux à usage commercial qui n’attendent que l’aval des autorités de l’inspection de Wilaya pour libérer cette liste qui semblerait être mise en instance depuis plus d’une année.
Si nous exposons ce soir ce cas précis de cette dame et mère de famille, preuve à l’appui, on se demande combien de bénéficiaires sont dans la difficile situation de T. Rachida et si finalement cette caisse accompagne réellement les futurs gérants dans leur parcours professionnels prévus par la réglementation ou bien les livrer à eux-mêmes sans aucune aide ni assistance, pis encore leur créer des situations inextricables qui les amèneraient à mettre la clé sous le paillasson soit par un défaut de local soit par une lenteur dans l’acquisition du matériel….donc à quoi sert finalement cette caisse ?
Rayen.M