mar. Jan 9th, 2024

Le Directeur de la Sureté de Wilaya, donne son Bilan 2012

 

Le Directeur de la  sureté de Wilaya a réuni, en ce jour du 24 Décembre 2012, l’ensemble de la  presse écrite et électronique locale, pour  présenter son traditionnel  bilan des activités de l’année 2012. A travers  son  intervention d’ouverture de la séance, Mr le Directeur de la Sureté, exprima en prime abord, ses sincères hommages envers les membres de la presse de la Wilaya, qu’il reconnait être, de qualité très louables, en raison des contributions effectives à transmettre l’information et à couvrir appréciablement, l’ensemble des évènements à travers toute la Wilaya.

Il reconnait avoir fait le constat depuis son arrivé à Sidi bel abbès, que la presse qu’il a pu côtoyer, contribuait pleinement par ses efforts à l’épanouissement  du cadre de vie et si de temps à autre, certaines situations regrettables, venaient à tenter de noircir le tableau, cela, ne prouverait nullement  l’existence de discordes. Et en raison de cette parfaite symbiose existante, il assure, agir à se que les membres de la presse demeurent, des partenaires de qualité, dont le respect de la responsabilité serait préservé.

Il confirmait intervenir auprès du personnel de la sureté de la wilaya, dont il est responsable,, pour que  le type  d’incident tel que celui, ayant  occasionné des traumatismes à notre confrère Mustapha du quotidien El Chourok,, ne se reproduisent plus.

Par la suite, il faisait lecture, du bilan de la sureté de Wilaya, en nous rappelant  qu’en 2011, il fut comptabilisé 3744 affaires, qui en 2012 se retrouvaient réduite à 3553 soit un pourcentage dépassant les 80% de situations réglées. Nous noterons  qu’une grande partie de ces affaires sont en rapport avec la consommation  abusive d’alcool et de  prise de comprimé psychotropes. Il  justifiera  ce sujet, en précisant que Sidi bel abbès était une ville à casernement et école de formation militaire et paramilitaire, dont les locataires de ces sites occasionnent, certain dépassement lors de leurs permissions.

Mr le Directeur de la sureté  ajoutera que  la quasi-totalité des délits relèvent d’associations de malfaiteurs. Les services spécialisés de la sureté sont parvenu  à ce sujet de  démanteler 33 groupes  au cours de l’année 2012, dont  des malfaiteurs visant le vol de câble de cuivre à travers les quartiers de la ville (10 vols d’enregistrés), et ceux qui sont spécialisés en vols de voitures s’accaparèrent de 17 véhicules dont 11 d’entre elles furent  récupérés.

Le Directeur de la sureté, nous rappellera également, les efforts fournis par ses services  afin de procéder à l’illimitation presque totale du marché informel, et de la démolition des constructions des bas quartiers, qui perturbaient pleinement le cadre de vie des citoyens. Aussi  la stabilité des humeurs des  concernés, nécessitait  un professionnalisme  exceptionnel, qui démontrait  combien, que tout est mis en œuvre, avec des brigades très expérimentées pour que  le citoyen  retrouve sa sérénité.

Pour se qui est  des conditions  sociales  du policier, il répondait que ce dernier bénéficiait de tous les avantages et que la Wilaya de Sidi bel abbès était la mieux lotis dans la région Ouest. Dans le cour de 2013, un chantier pour une polyclinique en faveur  des policiers et de leur famille serait entamé. Il ajoutera que les citoyens, pourraient  bénéficier des avantages des prestations.

Pour conclure, le Directeur de la Sureté de Wilaya, remerciait vivement  la société civile, pour leur  contribution permanente. Il avançait en outre  que le plan de circulation de l’an 2013  devrait être à revisiter  en raison des perturbations qui  seraient causées, par les travaux du chantier du « Tram ».-Il rappela aussi, que 15 sites allaient être démolis et ses services  se chargeraient aussi de la sécurité de la bonne réalisation de ces opérations de démolition –Il lançait un appel aux dirigeant  des supporteurs de l’USMBA pour mieux, sensibiliser leurs troupes de supporteurs-Il  exprime le vœu de diminuer les PV en 2013 et enfin , il exprimait son impossibilité de mettre devant chaque école un  agent, en raison du manque d’effectifs, que certaines administrations retiennent au lieux d’utiliser leur propre service de gardiennage.

K Benkhelouf.