L’épisode mandataires O.F.L.A. et le maire par intérim dans l’impasse!
L’étau se resserre contre le maire par intérim de la commune de Sidi Bel Abbés.
Le Bras de fer engagé entre le maire par intérim de la commune de Sidi Bel Abbés et les mandataires du marché de gros des fruits et légumes provoquant la paralysie des approvisionnements risque de générer du coté des habitants par la flambée des prix qui frappent tous les marchés de la région.
La dernière décision prise en date du 23 juillet par l’intérimaire de l’ A.P.C enregistrée sous le n°160/2016 adressée au chef de daïra de Sidi Bel Abbés portant la désignation de quatre membres de commission du conseil de direction pour la gestion de la direction de l’ O.F.L.A. jusqu’au 10/08/2016 date de la tenue officielle du conseil de direction.
Les mandataires ont sur le champs rejetés cette prise de décision considérée nul -non avenu interpellant les autorités de wilaya une fois de plus d’intervenir à mettre un terme définitif à cette anarchie qui dure depuis tant d’ années.
Selon les dernières informations qui nous sont parvenues , les grévistes se préparent à organiser un sit-in devant les portes de la wilaya refusant toutes négociations avec le maire par intérim craignant la décision du provisoire qui dure , interpellant le wali à ouvrir une enquête relative à la gestion sombre, douteuse.
Au cinquième jour de grève l’étau se resserre sur cette crise découlant le non respect de la règlementation qui rappelons le une fois de plus le maire par intérim n’est pas à son premier manquement commis volontairement dans l’exercice de ses fonctions. entrainant des conséquences dommageables et désastreuses causant un tort grave au développement local de la ville de Sidi Bel Abbés ainsi qu’à ses habitants. en raison d’un intérêt personnel , une fourberie qui une fois de plus refait surface , refusant la présence du secrétaire général de l’administration communale à la dernière assemblée essayant de délibérer indélicatement le patrimoine communal tel que la concession de la piscine municipale, alors que les enfants démunis se baignent dans les bassins des jets d’eaux de la ville , le parc station Bus, le dossier du parc auto Sorécor. Sans que l’on oubli la délivrance des D.N.O. remis à tort mutilant les arbres nobles de la ville , les palmiers de la Macta qui meurent, plusieurs demandes de rencontre avec les principaux acteurs de la société civile gelées depuis plus de 3 mois, en plus du cumul de fonction, la perception du centre équestre, tenu responsable de l’anarchie de l’éclairage public où une large partie du tissu urbain plongée dans l’obscurité .
Affaire à suivre.
O.A.
