lun. Jan 8th, 2024

Journée d’étude à la bibliothèque El Kabati à l’occasion de la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes.

violence 5 Le 25 Novembre de chaque année est une date qui est consacrée, à l’échelle  violence 2planétaire, à la célébration de la journée internationale de lutte contre toutes les formes de violence faites aux femmes, en cette occasion, la direction de l’action sociale de la wilaya de Sidi-Bel-Abbès (D.A.S) et sous le haut patronage de son wali, a organisé une journée d’étude à la bibliothèque Cheikh El Kabati en présence des représentants de l’union nationale des femmes Algériennes (U.N.F.A-section SBA), du chef de daïra, de la sureté de wilaya ainsi que d’autres autorités civiles et militaires.

violence 3 C’est donc M. Hadjar, secrétaire général de la wilaya de Sidi-Bel-Abbès qui a violence 4 procédé en cette matinée du mardi 25 novembre 2014 à l’ouverture officielle de cette journée d’étude consacrée à la lutte contre les violences faites aux femmes et qui a été animée par des sociologues et ce, après une brève intervention du directeur de l’action sociale qui a donné un aperçu général sur la situation, jugée préoccupante, de la femme victime de multiples violences en Algérie.

violence 1 A noter enfin, que la lutte contre les différentes formes de violence faites aux femmes ne doit en aucun cas se circonscrire à une date mais c’est un combat qui doit-être au quotidien, car les chiffres avancés, pour le cas de notre pays, et loin de refléter la réalité sur le terrain, en effet, sur un nombre inestimable de femmes ayant subi une ou plusieurs formes de violence, seul un faible taux d’entre-elles, a osé briser la loi du silence en portant plainte devant la police, pourtant des textes de loi sur la violence à l’égard des femmes existent, bel et bien en Algérie, il reste de leur trouver des mécanismes spécifiques pour leur application, car quoi que l’on puisse dire, les violences physiques ou sexuelles faites aux femmes, sont une discrimination et une violation des droits fondamentaux de la personne et notre pays (comme beaucoup d’autres) est malheureusement confronté à cette amère vérité, c’est pourquoi il n’est jamais trop tard pour bien faire en tentant d’éradiquer le phénomène ou du moins le freiner.

O. Abbes